Nouveau cadre de la politique monétaire, environnement financier, crises financières, déflation, inflation, instabilité des prix, cycles économiques, crédits, effets de levier
Le constat est une plus grande stabilité du prix des biens et services, mais le contexte de libéralisation financière est une instabilité des prix des actifs financiers. L'objectif de la banque centrale est le contrôle la hausse des prix des biens et services. Quelle doit être aujourd'hui la politique monétaire au niveau de l'inflation 0 ? Quand la politique monétaire essaie de contrôler l'inflation, elle n'y arrive pas.
[...] - Pbs financiers des Er affaiblissent le syst bancaire. Japon : banques n'étaient pas assez supervisées, Bâle I est mep en 93 et difficultés syst bancaire limite offres de prêts et les capacités de retour à la croissance gdes crises financières aux USA : - Début 2000's effondrement bulle internet - 2007 Ces crises étaient bien d'ordre déflationniste car avant crise accumulation de dettes, excès d'invest et survalorisation boursière. Déroulement crise : effondrement prix d'actifs et réduction du levier d'endettement (tt le mde cherche à se désendetter = effondrement dde et px du mché). [...]
[...] Ainsi les bq amplifient le cycle de crédit : en période de croissance pas besoin de provisionner et EUPHORIE et qd activité ralentit elles doivent sur-provisionner, ce qui les conduit à rationner les demandeurs de crédits. Cet argent n'est pas injecté dans le circuit du crédit. On essaie de mettre en place le provisionnement dynamique + coussin de sécurité pour les FP. Adoption en 2005 des normes comptables internationales a renforcé ce phénomène de cyclicité. Elles concernent toutes les sociétés cotées y compris les bq cotées. Normes IFRS. [...]
[...] Augmentation de l'offre mondiale Offre>demande. Offre : impact de la globalisation, intégration plus étroite de l'économie mondiale. A partir milieu 90's, augmentation volumes des exportations écos avancées et en dvlpt (plus prononcées pour ces dernières). Intégration croissante dans l'économie mondiale de la Chine, Inde - 40% pop mondiale - qui travaille dans des chaines de production, biens destinés à l'exportation : chute du mur de Berlin : intégration des pays de l'est (ancien union soviet) : États baltes, Hongrie, Pologne, Slovénie . [...]
[...] L' « aveuglement au désastre » : les banques attendent la crise pour sur-réagir dans l'autre sens. Tout ça car elles subissent des pressions de la concurrence, des actionnaires et des investisseurs pour avoir un rendement élevé. Mimétisme dans les comportements : on prend les mêmes risques et c'est un facteur de survie. Ex : on investit dans les marchés risqués qui rémunèrent plus, si je ne le fais pas je vais perdre des clients. Ajd avec taux les banques doivent trouver d'autres sources de profits et doivent prendre plus de risque : - Soit jouer sur volume = prendre plus de risque car prêt aux agents auxquels je n'aurais pas prêté - Soit je prends des risques sur des mchés plus risqués. [...]
[...] Dégradation des cptes publics jusqu'en 98 après éclatement bulle immo. Bqs détiennent des titres publics moins risqués, et financent la montée de la dette publique, mais ne financent plus la sphère réelle. Réserves des banques à la BC sont au-delà des rés obligatoires : elles veulent être rassurées, rassurer les déposants, rassurer l'interbq. Ça rend la pol mon inopérante : BC crée bcp de liquidités à partir 94-95 car ne peut plus baisser les tx (trappe à liquidités) donc explosion de la base monétaire qui se traduit par de la monnaie restant à la BC, l'inflation ne repart pas. [...]
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