L'économie, politique, définitions, classifications, courants économiques
La question ici est de savoir quelle est la nature du bien et du service échangée sur un marché. Cela amène à la question de l'homogénéité ou l'hétérogénéité.
Idée d'homogénéité qui se réfère au concept d'uniformité, d'identité et met en jeu la notion d'indifférence.
Lorsqu'un bien est homogène : il va être indifférent d'acheter ce bien ou celui d'une autre catégorie.
Lorsque les biens sont homogènes, le marché présente une qualité d'imperfection parce qu'il est plus facile au consommateur de comparer et de choisir. En effet, seul le prix permettra de choisir.
Lorsque les biens sont hétérogènes, cela veut dire qu'il y aura une individualité du bien et donc une possibilité de le différencier des autres, ce qui pourra justifier des différences des prix et qui rendra donc plus délicat le choix pour le consommateur.
Sous un même nom, les biens présentés n'auront pas les mêmes traits de caractère. Il y aura une personnalisation des biens. Cela enlève un caractère de perfection économique au marché sur lequel ce bien est échangé :
– cela entraîne un problème de la qualité des biens
– problèmes de la destination des biens
Par la différenciation, l'entreprise va chercher à se démarquer.
Pour le consommateur, il n'est pas indifférent d'acheter un bien pourvu d'une marque par rapport à un autre bien dépourvu d'une marque.
C'est la raison pour laquelle les entreprises vont développer les marques. Ils vont développer aussi toute une gamme de procédés qui visent à différencier les biens (les labels, les appellations contrôlées, les étoiles pour les hôtels, etc.). Il y a donc des imperfections et cela montre qui il y a une certaine complexité du marché. Cette question de l'homogénéité ou de l'hétérogénéité des produits sera fondamentale dans le choix du consommateur. Le consommateur souhaite que les produits soient homogènes pour pouvoir comparer alors que le producteur met tout en œuvre pour que ce soit plus difficile à comparer.
[...] une firme achète toutes les matières premières nécessaires à la production d'un bien final, et de cette façon, obtient une position de monopole sur la production de ce bien. Par exemple, Pythagore achetait toutes les olives de la Sicile Monopole sur la production d'huile nécessité d'une coordination. Certains travaux exigent de tels investissements et ont une nature telle qu'il est préférable et plus rentable de les confier à une seule entreprise (barrages, autoroutes, biens publics économiques comme un phare, La détermination du prix en monopole. [...]
[...] L'objectif d'une entreprise n'est pas de produire le plus possible mais de réaliser le plus grand profit possible. Il faut donc se situer dans la zone de profit positif qui est défini par un coût inférieur au prix du marché. Deuxième solution : on pourrait alors envisager de produire la quantité qui correspond au minimum du coût moyen. Cela semblerait logique puisque c'est là que le profit unitaire est le plus élevé (puisque l'on a le cout le plus faible et le prix du marché reste le même). [...]
[...] Équation : k = 1 2/3 = 3 Delta Y = 3 X Delta Y = Deux facteurs peuvent être distinguer dans le mouvement de multiplication : premier facteur : facteur d'impulsion Ce sont les dépenses nouvelles d'investissement. L'investissement est considéré comme nouveau car il s'agit d'un investissement net par opposition à un investissement de remplacement et il s'agit également d'un investissement autonome, c'est à dire, par opposition à un investissement induit par le revenu. Relation d'accélération. Deuxième facteur : facteur de propagation qui est représenté par les dépenses de consommation. [...]
[...] On peut dire que de nombreuses écoles de pensée peuvent se réclamer de la macroéconomie mais l'analyse keynésienne a été la plus étudiée, la plus influente en matière de macroéconomie. Elle a été à l'origine des politiques économiques de type interventionniste. Chez les néoclassiques au contraire, l'État ne doit pas intervenir. Donc la pensée keynésienne est nouvelle quelque part car elle vient s'opposer aux libéraux. L'apport keynésien va avoir une influence considérable sur les politiques économiques menées au XX ème siècle. [...]
[...] On voit donc très souvent les motivations de l'investissement sont gouvernées par des mobiles autres que les taux d'intérêt. D'une manière générale, l'innovation, le progrès technique, nécessite l'achat de nouveaux biens. Les différentes motivations décrites pour investir peuvent se déterminer pour les dirigeants à travers les variations des profits. En effet, un accroissement des profits augmentent les possibilités de l'autofinancement et apparaît comme le signe d'une prospérité économique générale qui autorise la firme à prévoir une expansion de la demande. [...]
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