Fluctuations, crises, crises de surproduction, capitalisme, Nouvelle Economie Keynésienne, NEK
Il est possible de considérer que l'activité économique est caractérisée par des rythmes multiples. Si l'on envisage la nature et l'importance des techniques des données climatiques, on peut considérer que moins ces techniques sont élaborées plus l'agriculture a de l'importance au sein de la production des ressources et plus la production revêt un caractère aléatoire. Depuis les origines de l'agriculture jusqu'au début du XIXe, les pays industrialisés ont connu un type de crise particulier et que l'on nomme crise frumentaire. Ce qui veut dire qu'une sécheresse plus moins forte à conséquence de faire baisser la récolte de céréales. La raréfaction de la quantité de céréales disponibles conduit à la hausse des prix qui touchent d'abord les populations défavorisées.
La chute des revenus provenant de l'agriculture entraine une réduction générale des activités et c'est pour cela que l'on parle de crise. En l'occurrence une crise de sous-production qui est caractéristiques des sociétés agraires et dont la technologie et peu développé. On peut avoir aussi crise de surproduction, offres pléthoriques, donc les producteurs n'arrivent pas à vendre tous leurs produits.
La crise de sous-production, on la retrouve dans un certain nombre de pays en difficulté. L'ampleur des effets de ces crises (d'ancien régime), dépend du mode de répartition de la production. Donc l'ampleur des effets de ces crises, donc cela dépend des rapports sociaux de ces sociétés.
Les crises frumentaires n'ont pas seulement des causes climatiques, elle sont aussi déterminées par des facteurs sociaux et renvoient à la capacité d'une famille à faire vivre ses membres…
[...] Elle confère aux anticipations des chefs d'entreprise un caractère instable. Cette instabilité des anticipations se réfère à leur caractère indéterminé : elles ne sont jamais précisément définies avec rigueur (ne se produisent pas nécessairement). Certains NEK ont bâti une théorie composée de la notion de sun spot. Sun spot = variable aléatoire dont la distribution est constante et qui n'apporte aucune info sur les grandeurs fondamentales de l'éco. Pour les NEK, ces types de variables sont pris en compte par les agents éco pour leurs anticipations. [...]
[...] Il introduit la dimension des rapports sociaux. A côté de ces explications les plus notables, certaines d'entre elles ont voulu soulignées le rôle de l'élargissement du marché mondial. Cette évolution souligne l'entrée de grands pays dans le marché : Allemagne et le Canada, dans l'air du grand capitalisme. Mais il y a eu aussi des tentatives de convoqué l'importance des conquêtes coloniales motivés par la recherche de matière première soit par la recherche de débouché pour les industries des pays les plus avancés économiquement. [...]
[...] Il faut que les entreprises aient la capacité de faire face à ce pouvoir relatif de mobilisation des salariés et de défense de leurs droits et de leurs intérêts. Cette situation tend à enrayer dans les phases de dépression économique les baisses de salaires. Ceci a pour conséquences de remettre en cause le processus de régulation par la crise des disparités de rémunération d'une période à l'autre. Dans le dernier quart du 19ème siècle (1875-1886) a existé aux USA une grande organisation ouvrière nationale Chevaliers du Travail. Elle a exercé une influence importante dans l'opinion publique américaine. [...]
[...] Il faut encourager l'I et l'esprit d'entreprise. - Courant nouveau classique : influence idéologique et politique en GB et aux USA et correspond aux attentes des dirigeants des grandes entreprises (déréglementation sociale). L'intérêt pour la Nouvelle Economie (NTIC) peut illustrer le mode d'analyse de ces néo-libéraux. Conséquences de ces innovations au niveau des communications et de l'info. Ils ont identifiés dans ces activité l'une des sources de l'expansion US dans les 90's. Mais ils y voient un nouveau modèle de dèv éco et surtout ils ont anticipé qu'il correspondait à une nouvelle ère éco de longue durée. [...]
[...] Deux dimensions le caractérisent particulièrement : nature des 2 classes fondamentales et les rapports qui en régissent. Deuxième dimension : le niveau développement des forces productives : techniques misent en œuvres. Pour Marx, les lois qui gouvernent ce type particulier d'organisation de la production, ce sont des lois spécifiques et qui ne s'appliquent qu'à cette configuration-là. De la même façon, le type de crise qui l'affecte est spécifique au mode de production capitaliste. Il propose donc une théorie de ce type spécifique de crise. [...]
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