Captalisme, croissance économique, Angus Maddison, révolution industrielle, capitalisme fordiste
La croissance durable et soutenue est un phénomène qui émerge avec la révolution industrielle:
Les travaux d'Angus Maddison, économiste et historien britannique, permettent de dégager 5 grandes phases de l'activité économique:
- 1820-1870: Mise en place du Kisme Lal (Europe principalement : 2/3 de la croissance mondiale).
- 1870-1913: Accélération de la croissance mondiale, 2ème révolution industrielle et rattrapage des late-comers.
- 1913-1950: croissance perturbée par les deux guerres mondiales + crise de 29. Mise en place d'outils permettant les futurs gains de productivité.
- 1950-1973: Age d'or, tendance plus élevée que la tendance séculaire. Croissance généralisée (approfondissement du capitalisme fordiste).
- 1973-1990: période de décélération de la croissance éco. Retour à la normale.
[...] o L'entreprise n'a pas besoin d'investissements énormes grâce au lien avec la conjoncture éco. C'est un processus qui s'inscrit dans le tps. Souvent des entreprises familiales, TPE, PME Inconvénients : o Lenteur de la croissance de l'entreprise. Dès lors que l'on s'inscrit dans des bouleversements technologiques, o Difficultés pour s'adapter au marché ; o Gêne financière pour acquérir des technologies. Externe : correspond à une forme qui aboutit à un regroupement d'entreprises, à un rachat d'entreprise. [...]
[...] Les analyses théoriques de l'entreprise et de l'entrepreneur Terme qui a évolué pour les économistes depuis le XVIème siècle. A cette époque l'entrepreneur désigne un agent qui se différencie du marchand du fabricant ou du producteur par l'idée de risque. Au XVIIIème terme popularisé grâce à Cantillon (1730). Exemple du fermier, qui mène sa ferme avec l'incertitude de la vente. Analyse élargie à l'artisanat et aux manufactures. Reprise par les physiocrates comme Turgot, qui distingue deux types : Le Kiste entrepreneur de culture (l'agriculteur) Le Kiste entrepreneur d'industrie (industriel) But de l'entrepreneur : recevoir un profit exceptionnel de son travail, qui résulte de l'exploitation de sa firme. [...]
[...] Ecrasante majorité des petites entreprises : 93% du total des entreprises. Technologique par leur R & D aboutissant sur les innovations qui entraînent les gains de pdté, Financier car les firmes ont besoin de fonds pour leurs investissements Entreprise (déf.) : Institution cardinale du Kisme (F. Perroux) Un îlot d'organisation dans un océan de marché (Guesnerie) Une entreprise est donc une org° comprenant un lieu de un lieu de répartition de revenus, un lieu de pouvoir (rapport hiérarchiques, patronat syndicat en Elle s'installe sur le marché pour vendre afin de dégager un bénéfice. [...]
[...] Un indiv va devenir entrepreneur parce que le cadre juridique et social le lui permet. N'est pas qu'un self-made-man mais également un social-made-man. Années 40-50 : Théorie traditionnelle de la firme : o la firme se caractérise simplement par le fait qu'elle choisit la combi. o Optimale pour produire un bien donné (néoclassique). o Par hypothèse on suppose que la firme à tout moment réalise les meilleurs choix organisationnels. o L'entrepreneur est parfaitement rationnel, pour maximiser les profits sous contraintes de coûts. o En CP et logiques des entreprises comparables. [...]
[...] Trente Glorieuses (1950-1973) : Ouvrage de Jean Fourastié en 1979. o Dvplt extraordinaire, âge d'or industriel. Hausse de l'équipement et du pouvoir d'achat. o Effective en Europe en France, en Allemagne et en Italie) et au Japon(8%/an), moins aux USA. o Analyse Keynésienne : de masse, conso° de masse, partage de la VA + au profit du L. o Moteur : les gains de pdté à long terme (mécanisation) ( Industrialisation. + importance du secteur agricole pour s'assurer l'auto suffisance alimentaire. (PAC 1962), pose des problèmes sanitaires. [...]
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