Politique économique, circuit économique, circuit financier, agents économiques, keynésiens, pensée keynésienne, Xerfi, économistes, dogmatisme, Jean Tirole, réalité empirique, politique macroéconomique, opérations financières, emprunteurs nets, financement, François Kennet, corpus keynésien, offre, demande, équation comptable, équilibre ex post, loi de Say, loi des débouchés, revenu, consommation, production, variation du taux d'intérêt, taux d'intérêt, épargne, investissement, plein emploi, macroéconomie, niveau d'investissement, John Maynard Keynes, biens de consommation, crise des années 1970, chômage, économie, situation de crise, marchés financiers, dépense, phase interventionniste
Les keynésiens ont dominé pendant longtemps, puis les libéraux arrivent et remettent en cause la pensée keynésienne. Aujourd'hui, l'État intervient beaucoup, donc certes, on est dans un régime libéral, mais il y a quand même l'intervention de l'État. On est dans un balancier et on va voir quelles sont les forces qui poussent le balancier d'un côté ou d'un autre.
Les économistes sont un gage scientifique pour les présidentielles, car les candidats s'appuient sur eux. Les économistes sont les experts d'un savoir technique et répondent aux questions de tous les problèmes.
[...] Mais ce rôle positif des marchés financiers a un revers on peut intervenir sur les marchés pour spéculer. Le spéculateur cherche à acheter des actions basses pour les revendre quand elles seront les plus hautes possibles il ne cherche pas le développement de l'entreprise sur le long terme, mais l'opinion des gens sur l'entreprise (comportement moutonnier). Finalement, les marchés financiers sont cause de l'instabilité du système on voit que tout le monde achète des actions dans une entreprise donc on achète puis tout le monde vend donc on vend aussi. [...]
[...] Il y a toujours des courants dominants et dominés et c'est important, car les courants dominés sont là pour introduire une nuance. Xerfi sur le dogmatisme de Jean Tirole : https://www.xerficanal.com/economie/emission/Christian-Chavagneux-Le-dogmatisme-deJean-Tirole_3674.html JEAN TIROLE = prix Nobel d'économie. Il a des prises de position militantes. Il dit que l'économiste est neutre, mais pas de consensus sur des sujets. Bons économistes = ceux qui s'inscrivent dans le cadre actuel de l'économie, les dominants. Les autres sont les mauvais économistes (selon TIROLE) Parmi les bons on distingue ceux qui utilisent les maths (les très bons) et les autres. [...]
[...] La forme la plus commune est les titres financiers on peut investir dans une entreprise chinoise et réciproquement. L'argent collecté est utilisé par les entreprises. Les deux plus gros emprunteurs sont l'État et les entreprises alors que les ménages sont épargnants nets (épargnent plus qu'ils n'empruntent) Donc l'équation comptable est : S + BK = I + - soit S = I + - - BK Avec ces trois équations, on peut avoir les conditions globales de l'équilibre de l'économie équilibre des biens et services, équilibre de la répartition et équilibre financier Si 2 conditions sont à l'équilibre, la sera forcément à l'équilibre On a donc : Y = C + I + G + X - IM équation des biens et services Y = C + S + T équation de répartition C + I + G + X - IM = C + S + T S = I + - + - IM) (car C s'annule des 2 côtés) S = I + - + BC (c'est-à-dire résultat de car BC = X - IM (BC = balance commerciale) Or, on a aussi S = I + - - BK BK = - BC BC = excédent commercial. [...]
[...] La partie du revenu qui n'est pas consommée est épargnée et toute l'épargne est placée donc finance des entreprises elle est investie. Donc cela veut dire qu'il n'y a d'épargne que s'il y a un taux d'intérêt épargne que quand on peut gagner plus. Pour SAY, il y a une incitation à tout consommer tout de suite. La seule chose qui peut nous pousser à ne pas tout consommer c'est de savoir qu'on va gagner plus tard donc placer son argent avec un taux d'intérêt. [...]
[...] effet multiplicateur Vision classique VS vision keynésienne Les équations qui résument le système sont les mêmes dans le cas classique et keynésien, mais ce qui change c'est la manière dont on arrive à l'égalité entre l'investissement et l'épargne Pour les classiques, les variations du taux d'intérêt qui ajustent I à c'est-à-dire besoin et capacité de financement Pour KEYNES : ce sont les variations du niveau d'activité qui ajustent S au volume d'investissement réalisé par les entreprises : ; ce n'est pas l'épargne, mais les perspectives de rentabilité des investissements productifs qui créent la dynamique de la production Pour les classiques, les rentiers sont bénéfiques à la croissance en mettant à disposition des capacités de financement Pour KEYNES, trop d'épargne tue l'épargne en pesant sur la consommation (paradoxe de et un taux d'intérêt élevé pèse sur l'investissement si tout le monde épargne, cela diminue le volume global de l'épargne. Il préconise l'euthanasie des rentiers il faut une redistribution plus équitable des richesses pour mettre fin à la rareté du capital et ainsi en limiter le coût d'accès. [...]
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