Le commerce extérieur a contribué à 3,3 points des 6,25 % de croissance du produit intérieur brut (PIB) de l'île au premier trimestre et 5,8 points des 4,32% au deuxième trimestre. La demande intérieure, qui semblait repartir en 2007 n'a connu qu'une progression modérée au premier semestre 2008 : la contribution de la consommation privée stagne (1,2 point au premier trimestre et 0,6 au second trimestre). Les grands postes : l'alimentation (22% du total), la santé (9%), les loisirs (19%) et le transport (11%), ont suivi l'évolution.
Les dépenses publiques (12,3% du PIB contre 12,5% au premier semestre 2007) pourraient constituer un facteur de croissance significatif dans l'économie dans le futur. Or, ce n'était pas le cas avec une évolution depuis 2002 se caractérisant par une succession d'extension et de contraction en phase avec la conjoncture (contribution de +0,17 point au premier trimestre et –0,09 point au second trimestre). De nombreux effets sont donc à attendre des programmes d'investissements.
Du fait des objectifs de santé publique, les mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS) sont plus facilement justifiables que les barrières non tarifaires des autres secteurs, elles doivent néanmoins répondre aux obligations de proportionnalité et de non-discrimination. Or, les produits importés se voient opposer des normes qui vont souvent au-delà des prescriptions internationales du Codex alimentarius et de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), et subissent des procédures d'agrément longues. En conséquence, les exportations européennes restent réduites par rapport aux exportations américaines.
Les difficultés principales se rencontrent pour les importations de viande (agrément long et compliqué), de fruits et légumes (protocole d'inspection lourd), de produits laitiers (les fromages, notamment, se heurtent à des critères microbiologiques inutilement restrictifs) et d'alcools (normes en SO2, pour les vins, et en méthanol, pour les alcools, de pertinence discutable).
[...] Ce sont des jeunes chinoises attirantes et qui prennent soin de leur corps. Elles sont courtisées par un grand nombre de prétendants et souvent même entretenues. En effet, les 3 cibles masculines précédentes, à savoir les fils de riches, les ambitieux et les chinois fortunés, tentent de séduire ces meinu en leur offrant des cadeaux de grande valeur . Le sport favori de ses filles est le shopping mais attention sans acheter car elles font uniquement du repérage. En effet, elles se font, en général, offrir tout ce qu'elle souhaite par leurs prétendants. [...]
[...] Il est important de prendre ces réunions préliminaires au sérieux et d'essayer de ne pas aller plus vite que les Taïwanais. Les réunions sont très formelles avec les deux chefs de délégation assis l'un en face de l'autre, entourés de leurs collègues. La parole devra être adressée au cadre supérieur qui fera appel à des experts lorsque cela sera nécessaire. Ne vous laissez pas séduire en parlant principalement au meilleur anglophone qui n'est peut-être présent que parce qu'il parle bien l'anglais, ce serait manquer de respect à votre interlocuteur. [...]
[...] Une bonne compréhension des us et coutumes de la société chinoise, assure en général un succès marketing pour les entreprises. Olivier VERO www.marketing-chine.com Le prix Le prix de vente de ces produits à Taïwan est une partie très importante de la stratégie de l'entreprise. Par rapport au positionnement du produit haut de gamme, le prix sera donc relativement élevé. Il faut savoir que les droits d'entrée à Taiwan sont identiques à ceux appliqués en Chine, Actuellement, le taux du droit de douane nominal moyen est de 8,25% et le taux effectif moyen est de 3,25%. [...]
[...] De nombreux effets sont donc à attendre des programmes d'investissements. La croissance du premier semestre 2008 a été portée par le commerce extérieur, du fait de la demande soutenue de la part des marchés chinois et européen. Les exportations de Taiwan ont progressé de au premier semestre et atteint 134,5 Md USD : La place de l'Asie dans les exportations taïwanaises s'accroît de au premier semestre 2007 à dont pour la Chine et Hong- Kong. La baisse de la part de l'Asie dans les importations, de 55,5% au premier semestre 2007 à s'explique par le poids de la facture pétrolière qui reste à un haut niveau. [...]
[...] La direction de l'entreprise qui souhaite s'investir dans cette démarche doit le faire sans réserve. La direction doit établir une politique de sécurité des denrées alimentaires, ainsi que des objectifs réalistes qui devront être compris par tout le personnel de l'entreprise. La direction doit nommer une personne responsable du système de management. Cette norme vise à créer et maintenir un système de management de la sécurité des Aliments (SMDA). Elle met l'accent sur les compétences du personnel, sur la recherche continue d'informations concernant les produits alimentaires (nouvelles lois, normes, règlements, etc.) et sur un retour au système HACCP (Hazard Analysis Critical Control Point). [...]
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