Il existe un certain nombre de restrictions, notamment au niveau des produits agricoles, découlant de l'application de la PAC (Politique Agricole Commune), ce secteur d'activité est fortement subventionné afin de créer une Europe agricole forte et relativement fermée pour les importations.
Les échanges commerciaux entre la France et le Japon n'ont pas toujours été bons, ce n'est que depuis les années 90 qu'on assiste à de vrais échanges commerciaux. Il y a en France 10.000 sociétés françaises exportatrices vers le Japon, les 1000 premières représentent près de 5 milliards d'euros par an. Les échanges commerciaux globaux ont progressé de près de 50% sur la période 1993-2004. Il s'agit du premier client des entreprises françaises en Asie, à quasi-égalité avec la Chine, avec un volume d'exportation français de plus de 5,3 milliards d'euros. C'est dans le secteur de l'agroalimentaire que se fait la majeure partie des exportations françaises (plus de la moitié des ventes vers le Japon contre un quart dans les exportations françaises mondiales).
Les bonnes relations commerciales se traduisent aussi par une présence remarquable des investisseurs français au Japon (plus de 14 % du stock des investissements directs étrangers détenus dans ce pays ; soit plus de 12,5 milliards de dollars).
Cette forte présence de la France au Japon s'explique notamment par les efforts employés par les deux pays pour se promouvoir (France-Japon, l'esprit partenaire) sous l'impulsion du secrétaire d'État au commerce extérieur en 2001 et 2003. En 2004, l'AFII (Agence française pour les investissements internationaux) a lancé une nouvelle campagne intitulée «The New France » à l'attention des investisseurs étrangers, notamment japonais. Les entreprises françaises se sont adaptées au marché japonais très exigeant. La chambre de commerce et d'industrie française au Japon, fondée en 1918, est la 1re chambre européenne et la 2e mondiale après celle des Etats-Unis. Grâce aux mesures d'ouverture du marché prises par les autorités japonaises, qui profitent aux entreprises françaises dans de nombreux domaines. De plus le Japon a signé des accords avec l'organisation mondiale du commerce qui le força à réduire ses subventions.
Néanmoins la balance commerciale avec le Japon reste déficitaire, en 2004 la France exportait pour 5,4 Mds et achetait 10,4 Mds. La croissance des importations faites par le Japon n'est pas forcément à destination de la France ou plus généralement l'Europe, mais plutôt des voisins culturels et géographiques du Japon (Corée du Sud, Chine, etc.).
[...] Le virement s'est beaucoup développé ces dernières décennies dans tous les domaines de l'activité économique, grâce au support électronique largement utilisé par le milieu bancaire nippon Les modes de paiement a proscrire 1 Le chèque Le chèque, défini comme une lettre de change tirée sur un établissement bancaire et payable à première présentation. Il est surtout utilisé en tant que paiement d'avance ou versé en tans qu'acompte. Il présente de nombreux inconvénients à prendre en compte surtout pour l'exportation qui sera considérée comme des risques : Risques de vol, perte, falsification, absence de provision, opposition Longueur des délais d'encaissement. Absence d'harmonisation des législations nationales. [...]
[...] Type de cépage. Pratiques culturales. Méthodes de vinification. Titre alcoométrique minimum. Rendement à l'hectare. Évaluation des caractéristiques organoleptiques. Il établit les appellations communautaires autorisées, selon les diverses typologies de vins de qualité, ainsi que les appellations nationales. [...]
[...] Exportations françaises vers le japon 1 Tout d'abord quelques données sur le Japon. Les échanges commerciaux entre la France et le Japon n'ont pas toujours été bons, ce n'est que depuis les années 90 qu'on assiste à de vrais échanges commerciaux. Il y a en France 10.000 sociétés françaises exportatrices vers le Japon, les 1000 premières représentent près de 5 milliards d'euros par an. Les échanges commerciaux globaux ont progressé de près de 50% sur la période 1993 - 2004. [...]
[...] La sécurité qu'apporte ce moyen de paiement engendre des coûts parfois élevés ainsi qu'une démarche administrative stricte et longue. (cf. annexe 2 : contenu du crédit documentaire) 3 Encaissement documentaire 4 Lettre de crédit Standby 6 Les techniques Il existe trois techniques : Encaissement simple, contre remboursement, crédit documentaire, En commerce international les conditions de paiement et les modes qui en découlent sont généralement définis dans les termes du contrat qui va lier l'importateur à l'exportateur. En fonction du degré de connaissance et de confiance entre les deux partenaires, trois modes sont proposés : Les règlements au comptant Les règlements à crédit (lettre de change est le plus couramment utilisée). [...]
[...] Il n'y a aucune base légale à cette demande des entreprises japonaises. Partie II La logistique Les incoterms Pour faire l'étude de la faisabilité de n'importe qu'elle transaction (profit), l'exportateur/importateur doit être conscient des coûts et des risques associés aux transactions internationales : paiement des frais de transport, police d'assurance, procédures de dédouanement, droits de douane. Les Incoterms sont des termes commerciaux reconnus à l'échelle internationale qui déterminent la dévolution du risque et des coûts au titre d'un contrat de vente international. [...]
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