Le risque de base correspond au fait de délocaliser pour produire moins cher. En effet, de plus en plus d'entreprises délocalisent leur production dans les pays d'Asie, et plus particulièrement en Chine où la main-d'œuvre est très bon marché. Les ouvriers sont nombreux et le salaire moyen dans ce pays st extrêmement faible, comparé à celui des ouvriers européens.
Le risque du mécontentement des salariés dû à la suppression d'1/6e des emplois au niveau des usines pourrait en effet poser problème.
Dans le cas de suppression d'un grand nombre d'emplois au sein de l'entreprise, il serait possible voire certain de voir se former un groupe de résistance exprimant le mécontentement des salariés.
Ainsi, on verrait les syndicats faire pression sur la direction afin de combattre l'action de restructuration et tenter de la faire échouer.
De plus les salariés se mobilisant feront appel aux différents médias afin de répandre leur mécontentement et d'informer le milieu syndical des événements en cours.
[...] Effet sur équipement/système Suite aux protestations des salariés, à la mobilisation et à l'expression du mécontentement de leur mécontentement, on peut imaginer : - Un élan de solidarité des journalistes, c'est-à-dire que la presse s'intéressera au cas des salariés et plaiderait en leur faveur. Il est donc possible que les médias diffusent en masse des images des protestations. - On peut également penser que l'opinion publique, suite à la vision des images des salariés, se mobilise ou en tout cas s'intéresse à eux. [...]
[...] En effet, il est très probable que le licenciement de certains salariés provoque des retombés médiatiques et engage ainsi des retombés en terme d'image de marque. Criticité La criticiste de ce risque est donc évaluée à 12, sachant que la criticité maximum est de 25, on peut dire que ce risque est probable, mais qu'il n'engendrera pas des conséquences démentielles sur l'entreprise et son image de marque. Ce risque est donc un risque C2, c'est-à-dire qu'il est acceptable sous contrôle. [...]
[...] - Dans le pire des cas on peut imaginer que les politiques se mobilisent et médiatisent encore plus le phénomène. On peut conclure cette partie en mettant en avant le fait que cette action peut engendrer une perte ou une dégradation de l'image de marque auprès de la clientèle. En effet les répercutions sur l'image de marque peuvent être conséquentes et engendrer des pertes soit à court terme soit à long terme. Moyens de détection du système/équipement Ce type d'événements est détectable grâce à des indices tels que la pression des syndicats qui donnent la température de l'ambiance au sein de l'usine. [...]
[...] Analyse et maîtrise des risques du groupe PPR en Chine Implantation de la production de la cellule luxe de l'entreprise en Chine afin de réduire les couts de production des produits. Fonction du risque de base Il correspond au fait de délocaliser pour produire moins cher. En effet, de plus en plus d'entreprises délocalisent leur production dans les pays d'Asie, et plus particulièrement en Chine où la main-d'œuvre est très bon marché. Les ouvriers sont nombreux et le salaire moyen dans ce pays st extrêmement faible, comparé à celui des ouvriers européens Mode de défaillance Les ouvriers détournent une partie de la production à des fins d'une augmentation de leur revenu. [...]
[...] Afin de rétablir un fonctionnement optimal de l'usine et des coûts de production moins élevés, on pourrait imaginer licencier 1/6ème du personnel de nos usines. Mode défaillance Dans le cas de suppression d'un grand nombre d'emplois au sein de l'entreprise, il serait possible voire certain de voir se former un groupe de résistance exprimant le mécontentement des salariés. Ainsi, on verrait les syndicats faire pression sur la direction afin de combattre l'action de restructuration et tenter de la faire échouer. [...]
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