Dans un contexte de mondialisation, l'internationalisation d'une entreprise est une étape importante dans le processus de développement de cette dernière. L'entreprise peut alors choisir soit d'implanter une filiale de l'entreprise sur le territoire concerné (unité de production par exemple, on parle alors de délocalisation) soit de proposer une offre pour le pays concerné (ouverture de magasins par exemple).
L'entreprise peut également s'implanter en rachetant une entreprise sur place. Chaque entreprise adopte alors une stratégie qui lui est spécifique, aussi bien dans la manière de s'implanter que dans le choix du pays d'implantation.
La décision de sélectionner un pays par une entreprise est déterminée par au moins plusieurs critères. L'entreprise peut choisir de mieux servir le marché local. Dans ce cas, la volonté de l'entreprise est de remplacer les exportations par une présence sur le marché local. Elle lance alors des industries d'import-substitution.
La taille du marché local et le pouvoir d'achat de la population sont les premiers critères de choix. Une entreprise peut également choisir de tirer profit des facteurs locaux. L'entreprise délocalise alors la chaîne de production pour bénéficier des avantages comparatifs de chaque pays. Elle pourra alors réexporter à des coûts compétitifs.
Une entreprise peut également choisir de tirer profit des facteurs locaux. L'entreprise délocalise alors la chaine de production pour bénéficier des avantages comparatifs de chaque pays.
Elle pourra alors réexporter à des coûts compétitifs. Ici, la décision d'investir est conditionnée par la qualité ou la spécificité des facteurs de production du pays (ressources naturelles, main-d'œuvre spécialisée ou à moindre coût ; proximité du pays d'accueil avec des marchés importants, traités commerciaux permettant d'élargir le marché local, projet de privatisation ou d'investissement du gouvernement en place).
L'entreprise s'assure généralement que le pays dispose d'un environnement politique stable et capable d'assurer la sécurité. Elle s'assure également qu'il possède une stabilité macroéconomique et qu'il existe un système réglementaire et fiscal stable et prévisible. Les incitations fiscales sont également appréciées. La qualité de la bureaucratie, l'existence d'un système financier capable de financer l'économie et la qualité des infrastructures (coût de l'énergie, des transports et des télécommunications sur place) sont aussi bien souvent primordiales.
[...] L'entreprise peut également s'implanter en rachetant une entreprise sur place. Chaque entreprise adopte alors une stratégie qui lui est spécifique que ce soit dans le choix de la manière de s'implanter que dans le choix du pays d'implantation. Les critères de sélection d'un pays La décision de sélectionner un pays par une entreprise est déterminée par au moins trois critères qui sont les suivants : Une opportunité d'investissement lucrative : L'entreprise peut choisir de mieux servir le marché local. Dans ce cas, la volonté de l'entreprise est de remplacer les exportations par une présence sur le marché local. [...]
[...] Les entreprises étrangères ont donc des avantages à s'associer avec des entreprises japonaises dans le but de développer leur compétitivité hors- prix. Grâce à ce graphique, nous pouvons constater que le Japon est réellement un leader en matière de R&D : Grâce à ses investissements conséquents, le Japon est à même de découvrir de nouvelles améliorations et procédés. Ainsi en mai 2005, l'Institut national des sciences et de la technologie (NISTEP) prévoit que le Japon réalisera les avancées suivantes d'ici à 2030 : Prothèses assistées par un ordinateur pour la transmission par le cerveau des signaux moteurs, organes artificiels avec des cellules et des tissus humains, traitement permanent de la maladie d'Alzheimer, traitement générique du cancer, recyclage automobile, robots assistants De plus, le Japon a l'atout de posséder le réseau à large bande le plus rapide et le plus rentable dans le monde. [...]
[...] De plus comme dit précédemment, il existe une main-d'œuvre qualifiée (encore insuffisante pour les besoins) à un prix très concurrentiel. Un ingénieur indien coûte environ quatre fois moins cher qu'un ingénieur occidental. De plus, la main-d'œuvre est en Inde très respectueuse de la hiérarchie. Des efforts et des perspectives pour les infrastructures : En Inde, la majorité des infrastructures sont à reconstruire ou à moderniser. Plus de 100000 déchets sont générés par jour (entreposés dans des décharges non contrôlées), les Indiens n'ont accès à l'eau que pendant 4h par jour et le réseau représente 60% de fuite. [...]
[...] De plus, les entreprises étrangères sont encouragées par l'Etat chinois à produire dans ces domaines. En effet, les grands projets d'infrastructures, la pêche, l'agriculture, le secteur forestier, mais aussi la protection de l'environnement, l'eau, les énergies renouvelables, et la sécurité industrielle bénéficient de réductions d'impôts spécifiques. L'enseignement supérieur est également un marché porteur. En effet, la plupart des Chinois sont peu qualifiés et donc en matière de formation tout reste à faire. Le secteur de la haute technologie est également intéressant dans le sens où il est peu développé et encouragé par l'Etat avec un taux d'imposition préférentiel de 15%. [...]
[...] Aujourd'hui, Cortix détient quatorze agences en France et treize à l'étranger. Sa stratégie pour implanter ces agences consiste à déléguer un directeur à la nouvelle région concernée puis de charger celui-ci de développer un réseau de filiales. Le chiffre du groupe témoigne d'une prospérité de l'entreprise comme en témoigne ce graphique : Ce succès s'explique en partie par son implantation en Tunisie, celle- ci a été bénéfique grâce à la plusieurs points : Une délocalisation pour être plus compétitif : Le fait d'installer la plateforme de production en Tunisie permet à l'entreprise d'être plus compétitive en matière de coûts pour une même qualité. [...]
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