L'approche des marchés étrangers

Résumé du document

L'exportation est la sortie de marchandises ou de services d'un territoire douanier vers un autre. A cette sortie correspond un flux monétaire entrant (et vice versa), c'est la balance commerciale, c'est-à-dire l'ensemble des importations et des exportations d'un pays vers un autre, instrument qui permet de connaître la situation d'un pays.
Il y a deux types de territoires : le territoire "national" (pays à part entière) et le territoire "communautaire" (ensemble de pays (UE)).
Le territoire douanier n'est pas forcément le territoire national (ex : le territoire douanier national français c'est la France et Monaco, mais le territoire national c'est la France et les DOM-TOM) (...)

Extraits

[...] Seul le commercial connaît les marchés étrangers : il va s'occuper de tout : aspects commericaux, administratifs Et au fur et à mesure que le CA augmente, l'export est étoffé. Ce service d'export va donc être organisé (vu qu'on exporte de plus en plus). Service export Responsable Commercialisation Administratifs / Financiers Logistique / Assurance Agent commercial = commerçant chargé de la commercialisation et de la prospection. Crédit documentaire = moyen de paiement international dans lequel une banque peut se porter guarant pour le paiement du client. Pour faciliter les règlements il est souhaitable de prendre le maximum de garantie. [...]

[...] En revanche, les marchés étrangers sont caractérisés par leur hétérogénéité. L'X implique un minimum d'I financier et humain. Pour exporter, l'entreprise doit y consacrer un budget minimum dépenses liées à la prospection, aux frais de participation à des salons, manifestations, foires commerciaux internationaux (permet d'entrer en contact avec des clients potentiels), aux études de marchés. A la différence de ce qui se passe sur le marché domestique l'X demande beaucoup plus de temps. Néanmoins, il semblerait que, une fois que le seuil de rentabilité est atteint, le taux de croissance de la rentabilité devienne supérieure sur le marché étranger que sur le marché domestique. [...]

[...] Quand on exporte on peut plus facilement compenser le fléchissement de la demande interne. Il faut répartir les risques sinon la demande baisse (ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier). Ne pas dépendre d'un seul client ou d'un seul fournisseur. L'X permet à l'entreprise d'améliorer sa compétitivité. Elle élargit son marché et réalise donc des économies d'échelle. Les écos d'échelle ne se répercutent sur la production que si l'entreprise n'utilise pas pleinement ses capacités de production. Les écos d'échelle améliorent la compétitivité. [...]

[...] Chaque pays dans une échelle donnée pour chaque critère. Ex : on aura déterminé un coefficient auparavant. Pour apprécier le niveau de vie il faut utiliser l'IDH et le PIB / Hbt en Parité de Pouvoir d'Achat. L'IDH est un indicateur composite et il est calculé par le programme des Nations Unies pour le développement. Pour le déterminer on retient trois éléments : L'espérance de vie à la naissance Le niveau d'instruction de la population cad le taux d'alphabétisation des adultes et le taux brut de scolarisation tous niveaux confondus avec une pondération de 2/3 pour le premier taux et une pondération de 1/3 pour le deuixème taux. [...]

[...] Quand ils augmentent, apparaissent des achats nouveaux. La théorie de l'application des seuils de consommation revient à regarder comment la consommation d'un produit donné a pu évoluer sur un marché : on reporte ça sur les pays à comparer. Le choix du marché pertinent, pays où on va exporter : Il faut se livrer à une étude approfondie sur les 2 ou 3 premiers pays de la liste. C'est à partir des prévisions de part de marché, de prévisions de coûts et de prévisions de profits. [...]