Synthèse de cours (2ème année de DUT) sur le commerce international. Il étudie le marché international du point de vue de l'entreprise, les contrats internationaux, les incoterms...
[...] La marchandise est disposée à quai donc non chargée sur le navire. Les formalités à l'export sont assurées par le vendeur. Dans la version 1990 c'était à l'acheteur. L'import incombe donc maintenant à l'acheteur. Le FOB (franco à bord) : incoterm purement maritime. C un des + anciens puisqu'il date de 1936. Il s'agit de déterminer l'endroit exact que doit supporter l'acheteur pour les risques. Le vendeur est acquitté de l'obligation de la marchandise lorsqu'elle arrive au port. Elle est acheminée au poste de chargement. [...]
[...] - 4ème étape : investissement sur le territoire. Relancer l'entreprise dans des marchés étrangers, qui s'essouffle dans son cycle de vie du produit, donc elle exporte pour le relancer dans un pays avancé à ce stage. A ce moment le produit va connaître une nouvelle croissance (surtout si l'entreprise n'a pas le temps de l'innover ; exemple : solex) L'entreprise ne peut mettre sur le marché domestique des produits issus de sa recherche et développement car : Le marché domestique est exigu, étroit, et donc non rentable car il y a une demande non suffisante (segment non fertile) Elle doit aller vers un marché extérieur pour trouver un marché + riche, + important La technologie est trop révolutionnaire par rapport à la technologie du pays où on exporte. [...]
[...] Depuis 1990, c à l'acheteur de gérer les formalités à l'import. Le DDU : incoterm polyvalent pouvant être choisi par les 2 parties, quelque soit le mode de transport. Le vendeur s'acquitte de son obligation de livrer lorsqu'il met la marchandise au lieu désigné par l'acheteur. Les formalités de douane à l'export sont assurées par le vendeur et à l'import par l'acheteur. Le DDP : incoterm maritime. l'acheteur ne s'occupe de rien. Les formalités de douane export et import sont assurées par le vendeur. [...]
[...] - Le commissionnaire à la vente va prospecter les marchés, doit trouver les éventuels acquéreurs, négocier les prix de vente, modalités de livraison. Il négocie et rédige le contrat de vente en son nom vis-à-vis de l'acheteur. Le commissionnaire de vente garantit la solvabilité de son client (il se porte du croire). Bureau d'achat : émanation de grands distributeurs pour prêt-à-porter. Il est en contact direct avec les entreprises sur place et est chargé d'échantillonner, de négocier le contrat et est chargé de référencement. [...]
[...] Le contrat doit prévoir un certain nombre de clauses : - objet, prix, cause du contrat, incoterms - modalités de contrôle et de réception des marchandises - délais, réserve de propriété, garanties, attributives de compétence - nullité de contrat (lorsque la marchandise n'est pas livrée, les délais non respectés) - clause d'arbitrage Ces clauses ne peuvent s'appliquer qu'à un contrat particulier. Elles sont individuelles. L'identification des produits, contrôle des produits par l'acheteur, modes de transports utilisés : spécifique à un contrat. II. Les procédures pour conclure des marchés On peut recourir aux contrats de gré à gré, où on contracte directement avec le fournisseur. Si le produit est standard, on lui envoie un devis (demande de cotation). [...]
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