Dividend discount model
Il est très difficile de deviner la tendance future d'un marché. Cette étude vise à démontrer qu'avec de simples outils théoriques, nous pouvons définir les « grandes tendances » du marché. En effet, il s'agit de savoir si à une date donnée un marché est sur ou sous-valorisé. Ce dossier présentera pour cela, des outils tels que : le degré de surévaluation, l'indicateur de valorisation…
Ce travail permettra de voir si les marchés français et américains ont bien été valorisés sur la période 1980-2010.
[...] Quand celui-ci est supérieur à son niveau fondamental, cela reflète des rendements trop fort et donc une surévaluation du marché. A l'inverse, quand ce dernier est inférieur à son niveau fondamental, les rendements sont trop faibles et le marché est sous- évalué. Sur la seconde période qui s'étale de 2000 à 2010, l'indicateur de valorisation Américain ne respecte pas ses bornes de confiance, il ne suit donc pas une loi normale centrée réduite. En 2007, lors de la crise financière, l'indicateur est très proche de la borne 4. [...]
[...] Constant IRFR RYFR Test de Hausman. 0.846126 avec un niveau de significativité de Dans ce cas, on accepte l'hypothèse nulle, nous utilisons donc l'estimateur des MCO. Test de Chow avec le modèle estimé par MCO (France) : La statistique est la suivante 70.81727 avec un niveau de significativité de Nous rejetons donc l'hypothèse nulle, il existe donc bien un changement structurel en 2000. 3em Partie : La valorisation du marché à travers le degré de sur ou sous évaluation. Le marché Américain. [...]
[...] Constant IRUS RYUS Nous constatons aussi ici que la statistique de Durbin Watson est proche de zéros et à gauche de dl= 1.522 et du= Nous pouvons dire qu'il existe aussi ici, une auto corrélation positive. II) Le marché Français. De la même manière, nous estimons le modèle de valorisation à partir de la méthode des moindres carrés. Le logiciel Winrats nous fournit la sortie suivante. La constante alpha ainsi que le coefficient béta du taux d'intérêt de court terme sont significatif. [...]
[...] (e1'e1) la somme des carrés des résidus du modèle sur la première sous période. (e2'e2) la somme des carrés des résidus du modèle sur la deuxième sous période. N : le nombre d'observations. K : le nombre de paramètres estimés. Les statistiques de test sont les suivantes selon les modèles utilisés. Ils aboutissent tous aux mêmes résultats, à savoir qu'il existe bien un changement structurel sur la période étudiée (la date de rupture étant en 2000). Test de Chow avec le modèle estimé par MCO (Etats-Unis) : F(3,319)= Niveau de significativité ( 0.00000000000000 ) Nous rejetons donc l'hypothèse nulle, il existe donc bien un changement structurel en 2000. [...]
[...] Ce signal détecte en effet, les phases de correction des marchés, c'est-à- dire quand la prime de risque s'écarte fortement de sa tendance de long terme. Le taux de croissance anticipé des bénéfices du marché Américain Alternativement, en fixant la prime de risque à un niveau raisonnable (nous avons vu qu'il était calculé sur la moyenne des valeurs précédemment calculées), et avec l'équation on obtient, le taux de croissance anticipé des bénéfices. D'après l'analyse graphique, on remarque tout d'abord que sur cette période, les deux taux de croissance anticipés sont différents (taux court et taux long) ; le taux court étant plus volatile que le taux long. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture