Taylorisme (fin 19eme-début 20eme) : Taylor analyse les gestes, les pauses et les façons de travailler des ouvriers. Il supprime les gestes inutiles. Il y a une division horizontale (chaque ouvrier à une tâche impartie) et verticale (séparation entre conception dans les « bureaux des méthodes »/réalisation dans l'atelier) du travail.
Les tâches sont parcellisées. L'ouvrier fait des actions élémentaires, chronométrées et répétitives. Les ouvriers sont soumis au paiement à la pièce, selon leur productivité. La productivité est donc bonne, les coûts de production diminuent et on procure un emploi aux ONQ (...)
[...] (Qualification initiale : Ensemble des études suivies avant l'emploi. Niveau VII : Sortie avant la fin du collège (CAP) Niveau VI : Fin de 3eme (brevet des collèges) Niveau V : Bac (cours jusqu'en fin de terminale) Niveau IV : Bac obtenu (bac n'est pas accessible à tous) Niveau III : Bac + 2 (BTS et DUT) Niveau II : Bac + 3 (licence) (Qualification permanente : Formation obtenue lors de la vie active (renouvellement des connaissances dues aux nouvelles technologies.) Globalement, le niveau de compétence ne cesse d'augmenter car il est obligatoire pour trouver un emploi face au chômage de masse. [...]
[...] Fordisme : Application du taylorisme à grande échelle. L'ouvrier ne se déplace plus, c'est l'objet qui vient à lui travail à la chaine) par convoyeur mécanisé. La chaine augmente la cadence. Les pièces produites sont standardisées (Ford T noire). Instauration du Five dollars Day (à la place de 2.6 dollars / jour) pour permettre aux ouvriers d'acheter les voitures qu'ils produisent.Ca a permis la production et la consommation de masse ainsi que des économies d'échelles. Cependant, le fordisme est fatiguant et monotone ce qui entraine une hausse des conflits, une baisse de la productivité, de l'absentéisme et du turn over. [...]
[...] Mais la tendance est inversée en Europe et le travail redevient une valeur centrale de la société. On encourage le salarié à travailler plus (défiscalisation des heures sup') et ce travail s'individualise (chacun à un nombre d'heure différent). Le travail est donc censé être plus motivant, moins fatiguant, moins dangereux . Mais un mal être social, notamment du au fait de devoir être tout le temps compétitif face à la concurrence internationale, se fait ressentir depuis de nombreuses années (ex : les 3*8 : postes difficiles, heures sup', contrats précaires Au final, les conditions de travail sont en train de se dégrader. [...]
[...] Social : Salariés épanouis, intégrés Les cinq grandes phases de l'organisation du travail : L'ancienne organisation : Séparation entrepreneur / exécutant, Formation faite sur le site de production par les plus expérimentés. Taylorisme (fin 19eme-début 20eme) : Taylor analyse les gestes, les pauses et les façons de travailler des ouvriers. Il supprime les gestes inutiles. Il y a une division horizontale (chaque ouvrier à une tache imparti) et verticale (séparation entre conception dans les bureaux des méthodes / réalisation dans l'atelier.) du travail. Les taches sont parcellisées. L'ouvrier font des actions élémentaires, chronométrées et répétitives. Les ouvriers sont soumis au paiement à la pièce, selon leur productivité. [...]
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