Dissertation d'Economie type baccalauréat, entièrement rédigée sur les thèmes de l'internationalisation des échanges et travail/emploi. Elle répond à la question: "Quels sont les effets de l'internationalisation des échanges sur l'emploi dans les pays industrialisés ?".
[...] Lorsque le travail devient précaire, l'employé n'est pas incité à s'investir dans son travail et c'est son efficacité qui est alors en jeu. La performence globale des travailleurs peut alors s'en ressentir et avoir par la suite un effet sur la productivité de l'entreprise et sur la croissance. Nombreux économistes ont œuvré sur les échanges internationaux, en théorie on a pu comprendre que pour tous les pays l'échange était propice à la croissance, et certains faits ont pu démontrer que leurs analyses étaient justes. [...]
[...] Ce qui peut fatalament conduire à une perte d'emploi dans les pays industrialisés les moins compétitifs, en raison des coûts salariaux. B -La nature de l'emploi se modifie N'ayant pas de qualification très avancée, ces individus se retrouvent généralement au chômage ce qui entraine la création d'un noyau dur, ou bien se retrouve à exercer des professions qui non seulement sont précaires et de fait ne leur permet pas une certaine stabilité sociale, mais c'est aussi sans compter qu'on élimine pour survivre tout un savoir-faire accumulé pendant des années de travail. [...]
[...] De plus, l'internationalisation des échanges contribue à modifier l' organisation du travail. En effet, les entreprises misent sur la fléxibilité interne pour adapter le travail à la demande, cette fléxibilité peut être aussi bien quantitative, c'est à dire que l'on va faire varier le temps de travail au cours de l'année, par le biais de l'annualisation du temps de travail, ou par l'embauche à temps partiel et en cas recours aux heures complémentaires juste pour les moments où il y a plus de demande. [...]
[...] C'est donc aujourd'hui dans un soucis d'équité social et économique que l'on peut poser la question des échanges commerciaux internationaux. [...]
[...] Néanmoins, l'économie se caractérisant par une tertirisation de l'économie, on comprend l'augmentation du nombre d'individus diplômés. Gage d'emploi, le diplôme apparaît pourtant en crise, alors que pour un BTS économie gestion il y a 20 ans, un homme pouvait devenir chef d'entreprise aujourd'hui il peinera à devenir cadre supérieur. C'est ce qu'on appelle le paradoxe d'Anderson, pour un diplôme équivalant à celui de son père, un homme aura du mal à atteindre le même statut voir même sera inférieur, du en majeur partie à l'inflation du diplôme aujourd'hui. [...]
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