Aujourd'hui le chômage, est devenu l'un des enjeux de notre société et fut au c?ur des dernières élections présidentiel en France. En effet depuis 1980 et la généralisation des zones de libre échange, sous le contrôle de certain organismes internationaux tel quel l'OMC et le FMI. Nous assistons avec l'ouverture des frontières à une concurrence toujours plus accrue entre les salariés des pays en voie de développement, avec notamment les pays de l'Asie de l'Est, et les pays développé à économie de marché du Nord. Pour combattre cette concurrence que certain qualifie de déloyale, qui continue encore aujourd'hui à nuire l'industrie locale, nombre d'Etat tel que l'Etat français on mit en place des politiques de baisse du cout du travail pour les emploies les moins productif. Néanmoins, depuis la fin » des 30 glorieuses » les économistes resté partagé dans leur lutte contre le chômage et s'opposent dans la manière de mettre en place leurs politiques. En effet pour les économistes classiques, le salaire est un coût, le réduire permet d'embaucher mais les économistes keynésiens contestent cette idée car le salaire est considéré comme un revenu qui agit sur la demande et donc l'emploi. C'est pourquoiaujourd'hui nous tenions à répondre à cette problématique La réduction du cout du travail permet-elle de réduire le chômage des travailleurs peu qualifiés ?
[...] En effet, avec un cout du travail faible il n'y as plus de raison pour l'entreprise de remplacer un ouvrier par une machine, le facteur travail est donc modéré pour l'entreprise. Néanmoins il nous semble essentiel d'affirmer aujourd'hui, que les moyens d'action pour baisser ce coût reste limité car dans des pays comme la France, il est difficile d'avoir une action sur le salaire net des travailleurs. Difficile en France mais réelle au Etats-Unis. Il semble donc que le coût du travail peut connaître une baisse, qu'en s'attaquant au coin fiscal (baisse des charges sociales et patronales) à l'image des mesures de Nicolas Sarkozy, avec la détaxation des heures supplémentaires. [...]
[...] La baisse du coût du travail semble permettre la baisse du chômage des travailleurs peu qualifiés. En effet la baisse du coût du travail caractérisé par une baisse des cotisations patronales effectuées par l'Etat en France on permis une baisse du chômage. En effet le document issu des statistiques du ministère de l'emploi de novembre 2000, outre nous démontré l'enjeu de la qualification pour échapper aux fléaux du chômage. Nous démontre que depuis 1993 et les mesures de réduction du coût du travail centrée principalement sur les bas salaires, le chômage des salariés et des ouvriers les moins qualifiés a baissé entre 1994 et 2000. [...]
[...] Pour cela dans un premier temps nous verrons que la baisse du coût du travail semble permettre la baisse du chômage des travailleurs peu qualifiés grâce à la mécanique libéral enfin dans un deuxième temps nous verrons que cette stratégie se révèle limitée et risquée à long terme. Notre analyse portera sur les pays développés dans une période tout à fait récente. Niveau Terminal ES. Aujourd'hui le chômage, est devenu l'un des enjeux de notre société et fut au cœur des dernières élections présidentielles en France. [...]
[...] La productivité du travail doit être supérieure le plus possible au coût du travail. Baisser le coût du travail devrait permettre d'embaucher les salariés les moins productifs. Comme nous l'avons vu dans notre introduction, le coût du travail comprenant à la fois les salaires nets reversés aux employés ainsi que les cotisations patronales, l'analyse libérale prône pour une baisse significative de ce coût une plus grande flexibilité. En effet, nous pouvons imager notre propos en citant Pigou qui selon lui, seule la flexibilité des salaires est susceptible de faire disparaitre le chômage et de permettre la meilleure répartition possible des revenus. [...]
[...] Hélas dans des pays comme la France qui connaissent des déficits publics constants, on assiste à un problème de redistribution. En effet, l'Etat endetté perd une partie de ses revenus, et ne peut plus financer certaines dépenses. Il faut revoir alors le financement de la protection sociale (ne pas l'asseoir sur le seul travail) ou la protection sociale elle-même et recourir alors à une logique individuelle, où l'individu paye directement plus). Ce qui a pour conséquence, si le prélèvement des charges baisse, de voir alors aussi les aides telles que la sécurité sociale diminuée aussi. [...]
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