Reforme industrielle sociale secteur tertiaire Allemagne economie chomage
Dans ce travail nous allons aborder l'évolution du chômage en Allemagne depuis ces derniers mois.
Si nous avons choisi ce sujet, c'est entre autres parce que l'Allemagne est un pays très important dans l'Union Européenne, et de surcroît, on en parle beaucoup à l'heure actuelle. Nous voulions donc mieux comprendre ce qu'il s'y passait et pourquoi.
Nous traiterons ici du secteur des services, du secteur industriel et des réformes sociaux engagés par le gouvernement. Mais nous ne parlerons pas du secteur de l'agriculture. En effet, ce dernier n'a pas beaucoup évolué depuis ces derniers mois du point de vue de l'emploi.
[...] Les deux aides (assurances chômage et aide sociale) ont aujourd'hui fusionné et sont regroupées en une aide unique portant le nom de assurance chômage II De plus, les indemnités de chômage ne sont plus calculées en fonction des revenus antérieurs du travailleur, mais en fonction de ses besoins (situation familiale La période d'indemnisation a été ramené à 12 mois (elle était 32 mois auparavant) pour les chômeurs de moins de 55 ans et à 18 mois pour les chômeurs de plus de 55 ans - 3. Le chômage chez les jeunes Malgré son important retard en matière de chômage, l'Allemagne possède une avance concernant le chômage chez les jeunes. En effet, le taux de chômage chez les jeunes de moins de 25 ans est de moitié inférieure à la moyenne européenne. Cette réduction est pour une grande partie due au programme JUMP mis en place en 1999. [...]
[...] Les brevets allemands se font plutôt rares : il y a un manque d'innovation. Il y a peu de dépenses dans ce sens. C. ANALYSE APPROFONDIE DE CES DIX DERNIÈRES ANNÉES : À l'aide du graphique suivant, nous allons analyser l'évolution du taux de chômage en pour cent de la population active en Allemagne et essayer de trouver les causes de ses fluctuations : Début de la réunification. Le chômage n'est pas très élevé, même si on aperçoit une augmentation sensible du taux de chômage depuis la chute du mur. [...]
[...] Cela permet de diminuer le chômage volontaire par une réduction des avantages fiscaux des sansemploi. Par ailleurs, les personnes licenciées devront directement se présenter à l'Agence 10 pour l'emploi de manière à faire connaître leur disponibilité sous peine de perdre leurs indemnités. Par ailleurs, un travailleur licencié bénéficiera de 4 à 10 jours de congés payés afin de se trouver un nouvel emploi. En ce qui concerne les emplois à bas salaire, la nouvelle réglementation prévoit d'élargir les exemptions de charges sociales et d'impôts pour une partie plus importante des personnes ayant des salaires bas. [...]
[...] Pourquoi une telle action de la part de GM ? Tout d'abord, il faut savoir que le salaire d'un ouvrier dans l'automobile allemande est nettement supérieur au salaire moyen mondial et surtout à celui d'un même ouvrier en Chine (d'environ 10 fois). Il est donc naturel que les grands groupes mondiaux cherchent à minimiser leurs dépenses (et même leurs pertes dans ce cas-ci), en délocalisant un maximum. Cela leur permet de diminuer leurs dépenses et d'ainsi augmenter leurs profits On peut tenir un tel raisonnement en sachant que les coûts de transport des marchandises sont faibles par rapport aux avantages de la délocalisation. [...]
[...] Dans la pratique, on voit bien sur les graphiques ci-dessous (tirés des études de l'OCDE) que l'emploi dans le secteur privé des services augmente plus en Allemagne que dans le reste de l'Europe. Alors qu'il diminue dans beaucoup d'autres secteurs. Cela confirme bien que les mini-jobs concernent surtout le secteur des services Une autre conséquence est qu'on réduit le chômage frictionnel; les gens mettent moins de temps pour trouver un emploi dès qu'ils perdent le leur. Soit U les chômeurs. [...]
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