Les jeunes ont des difficultés pour s'insérer sur le marché du travail. Les jeunes sont confrontés à trois grandes difficultés pour s'insérer sur le marché du travail. D'une part, ils sont plus rares à travailler à leur compte. Ensuite, ils sont plus touchés par les emplois précaires. Enfin, le risque est plus grand d'être au chômage quand on est jeune.
Tout d'abord, les jeunes plus rares que la moyenne des actifs occupés à être à leur compte. Ainsi, seulement 3, 1 % des actifs occupés de 15 à 29 ans étaient non salariés et la part des ces non salariés chez les jeunes actifs occupés est plus faible de 7, 8 point que chez l'ensemble des actifs occupés.
[...] Ainsi, seulement des actifs occupés de 15 à 29 ans étaient non salariés et la part de ces non-salariés chez les jeunes actifs occupés est plus faible de point que chez l'ensemble des actifs occupés. Cela s'explique en partie par le fait que les jeunes ont en général un faible capital économique (qui est nécessaire pour créer son entreprise) et que leur faible expérience peut aussi être un handicap pour attirer les capitaux (copropriétaires, prêt des banques Les jeunes ont donc plus de difficultés que le reste des actifs à être travailleurs indépendants. [...]
[...] Les difficultés rencontrées par les jeunes pour s'insérer sur le marché du travail Les jeunes ont des difficultés pour s'insérer sur le marché du travail. Les jeunes sont confrontés à trois grandes difficultés pour s'insérer sur le marché du travail. D'une part, ils sont plus rares à travailler à leur compte. Ensuite, ils sont plus touchés par les emplois précaires. Enfin, le risque est plus grand d'être au chômage quand on est jeune. Les jeunes ont de plus en plus de difficulté à être travailleurs indépendants Tout d'abord, les jeunes plus rares que la moyenne des actifs occupés à être à leur compta. [...]
[...] Mais cela s'explique surtout par le fait que les emplois précaires se sont développés en France depuis les années 1980 sous l'impulsion des entreprises qui ont souhaité une plus grande flexibilité du travail pour s'adapter aux variations de la demande et aussi sous l'influence des gouvernements successifs qui ont développé les emplois aidés pour lutter contre le chômage : c'est notamment le résultat des politiques publiques qui visent depuis 25 ans à développer en priorité les emplois peu qualifiés Or ces emplois précaires touchent forcément en priorité les nouveaux entrants : les emplois manquent et une forte proportion des postes proposés aux jeunes sont des emplois à statut précaire et mal payés Les jeunes sont donc proportionnellement plus nombreux à occuper des emplois temporaires. En outre, ils sont plus touchés que les autres catégories d'âge par le chômage. Les jeunes sont plus touchés par le chômage Jeunes actifs d'aujourd'hui sont plus touchés par le chômage. Ainsi, sur 100 jeunes entrés dans la vie active en sont toujours au chômage trois ans plus tard. [...]
[...] Cela s'explique un peu par une forme de discrimination à l'embauche à l'égard des jeunes de la part de certains employeurs qui prétextent du manque d'expérience pour refuser leur candidature. Mais ce fort taux de chômage des jeunes s'explique par le fait que parmi les très jeunes actifs (moins de 20 ans), la plupart sont sur le marché du travail avec un peu ou pas de diplôme et c'est leur manque de qualification qui est un handicap à l'embauche. Si les jeunes ont plus de difficultés que les autres catégories d'âge à s'insérer sur le marché du travail, ces difficultés touchent particulièrement les moins diplômés. [...]
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