La France compte 61 875 822 d'habitants au 6 octobre 2008. Parmi eux, nous recensons 13 505 947 personnes de plus de soixante ans soit environ 21% de la population française. Nous allons nous concentrer sur les seniors, personnes de plus de cinquante ans, dans le monde de l'entreprise. En 2007 nous recensions 55,2% de femmes actives entre 50 et 64 ans contre 62,2% d'hommes actifs entre 50 et 64 ans. Cependant 5,6% des femmes de plus de 50 ans était au chômage à cette même époque contre 5,2% des hommes. Les seniors se sont heurtés pour la première fois à ce problème en 1998 (7% des hommes de plus de 50 ans étaient au chômage). Depuis cette année-là une baisse s'est fait ressentir en 2001 (4,8% des hommes de plus de 50 ans étaient au chômage). Cependant les femmes de plus de 50 ans n'ont pas eu cette chance (7,8% en 1998 contre 6,1% en 2001). Nous pouvons justifier ces chiffres par une « double discrimination ». En effet les entreprises hésitent beaucoup avant d'embaucher une femme mais lorsque celle-ci est âgée de plus de cinquante ans les entreprises sont encore plus réticentes. Les femmes sont donc de plus en plus souvent contraintes à trouver des emplois précaires à cet âge ou d'utiliser le système des préretraites. Le récent amendement du 2 novembre 2008 qui autorise le travail jusqu'à 70 ans nous montre bien à quel point le thème des seniors dans l'entreprise est récurrent. Ce sujet est aujourd'hui problématique car il présente un paradoxe majeur : au nom de l'emploi, les seniors doivent quitter précocement le marché du travail, afin de laisser la place aux jeunes. Mais au nom de la préservation de l'équilibre financier des systèmes de retraite, ils sont priés de travailler plus longtemps. La question des salariés âgés est devenue un enjeu tel pour l'Union européenne, que le Conseil européen de Stockholm (2001) a fixé pour la première fois un objectif chiffré concernant le relèvement du taux d'emploi des 55-64 ans. L'objectif est de porter à 50% le taux d'emploi de la catégorie d'âge à l'horizon 2010.
[...] Pour le reste de la prise en charge, trois grands groupes de pays se distinguent du point de vue de leurs systèmes institutionnels : Une première accélération de la croissance du nombre de personnes âgées dépendantes avant 2010, une seconde à partir de 2030 : Entre 2000 et 2010, le nombre de personnes lourdement dépendantes physiquement augmenterait d'environ soit une hausse de l'ordre de puis de entre 2010 et 2020, de entre 2020 et 2030 et de entre 2030 et 2040. Au total, la hausse serait de 23% à l'horizon 2020 et de 50% à l'horizon 2040. La hausse n'est pas régulière dans le temps, l'évolution du nombre de personnes âgées dépendantes est en effet très liée aux mouvements démographiques et au passage des générations dans les différentes classes d'âges. [...]
[...] Des seniors polyvalents Les membres d'ECTI ont acquis dans le cadre de leur carrière une grande pratique des diverses techniques de l'entreprise ou des services publics. Spécialistes ou généralistes, ils offrent un potentiel capable de répondre à la plupart des demandes. Des seniors objectifs L'expert ECTI, indépendant de toute entreprise ou administration, est libre de ses choix : il s'attache objectivement à donner les conseils les plus impartiaux dans tous les types de situation. Des seniors disponibles Disponible d'esprit, l'expert ECTI n'a d'autre souci que celui de bien remplir sa mission ; libre de son temps, il peut s'organiser en fonction des besoins du demandeur, approfondir les problèmes, multiplier les échanges de vue Des seniors désintéressés L'expert ECTI ne cherche pas à faire carrière, sa seule ambition c'est celle d'un travail bien fait et utile à tous. [...]
[...] Nous allons nous concentrer sur les seniors, personnes de plus de cinquante ans, dans le monde de l'entreprise. En 2007 nous recensions 55,2% de femmes actives entre 50 et 64 ans contre 62,2% d'hommes actifs entre 50 et 64 ans. Cependant des femmes de plus de 50 ans était au chômage à cette même époque contre des hommes. Les seniors se sont heurtés pour la première fois à ce problème en 1998 des hommes de plus de 50 ans étaient au chômage). [...]
[...] On peut citer également, L'AMAPA : Association Mosellane d'Aides aux Personnes Agées dont le siège se trouve au Ban Saint-Martin à Metz. Conclusion Le vieillissement de la population a des conséquences au niveau démographique, économique, sociale et plus généralement au niveau structurel. Le vieillissement des enfants du papy-boom implique le désormais très connu problème du financement des retraites, mais il y a d'autres incidences à ne pas négliger et notamment leur influence directe au niveau de l'entreprise (aussi bien sur des politiques de l'emploi que sur des politiques de recrutement et gestion du personnel au sein des entreprises). [...]
[...] Mais le problème du financement des retraites ne s'arrête pas là. Ainsi, nous pouvons évoquer une possible aggravation de la situation et notamment à cause d'une baisse de la fécondité au niveau européen, d'une hausse de la durée des études dans les pays développés (et donc un retard dans l'entrée dans la vie active). Il semble désormais plus que nécessaire de penser les retraites comme le fruit d'une solidarité intergénérationnelle. Mais qui paiera nos retraites si un nouveau baby-boom ne se réalise pas ? [...]
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