Synthèse sur le travail des enfants d'un point de vue éthique. Elle montre en quoi le travail des enfants est impensable dans les pays développés où l'éducation est obligatoire pour les enfants jusqu'à 16 ans. Elle explique également que dans les pays pauvres, le travail des enfants est une tradition et qu'ils sont contraints de travailler pour survivre. Il existe ainsi des aides du Nord comme des organismes, mais que ceux-ci ont peu d'impact.
[...] Les familles s'enfoncent de plus en plus dans la pauvreté, à cause du grand nombre de chefs de familles morts du SIDA, et les responsabilités sont de plus en plus lourdes pour les survivants, particulièrement les enfants. Les enfants qui abandonnés ou errants, les orphelins, sont obligés pour survivre de travailler ou de mendier. Il ne peuvent pas faire autrement, sans famille, sans abris. Certains deviennent à leur tour chefs de famille et doivent alors contribuer à sa survie en travaillant. Certains enfants sont mêmes vendus par leur propre famille, à cause de la misère. [...]
[...] La culture et les traditions sont des facteurs au travail des enfants . La pauvreté et la misère les poussent à travailler L'éducation est un déterminant au travail des enfants L'enfant est une proie à l'exploitation III) Les pays du Nord peuvent-ils agir sur la situation des pays en développement ? Peuvent-ils contribuer à leur développement ? Si oui, quelles sont leurs actions ? L'organisation internationale du travail impose ses conventions à propos du travail des enfants au niveau mondial. [...]
[...] L'OIT grâce à ce programme tente aussi de trouver des solutions avec les employeurs, mais coordonne les actions de ceux qui se mobilisent pour lutter contre cette exploitation. Dans son rapport, l'OIT estime qu'une importante mobilisation reste nécessaire, malgré que les efforts engagés un peu partout dans le monde pour combattre ce fléau ont donné d'importants résultats. Les projets des syndicats d'enfants rejoignent ceux de l'OIT et tentent de négocier avec les employeurs pour que les enfants aient des meilleures conditions de travail. Leur mobilisation est souvent d'origine anti abolitionnistes et ceux ci réclament un travail respectueux et rejettent l'exploitation. [...]
[...] Les règles et lois favorisent ou empêchent les enfants de travailler suivant la constitution des pays. De plus, outre l'éducation et les mœurs interviennent les lois qui ressortent de la constitution à chaque fois différente en fonction du pays considéré et donc qui autorise ou non le travail des enfants. Dix ans après la déclaration des droits de l'homme, l'ONU a adopté en 1959, à l'unanimité, la Déclaration des droits de l'enfant. Concernant les enfants travailleurs, elle précisait : L'enfant ne doit pas être admis à l'emploi avant d'avoir atteint un âge minimum approprié ; il ne doit en aucun cas être astreint à prendre un emploi nuisible à sa santé ou à son éducation Plus de trente ans après, rares sont les pays qui respectent ces simples droits. [...]
[...] Une volonté des pays développés de résoudre ce problème. Cependant, certaines actions peuvent engendrer d'autres conséquences Les pays industrialisés sont actifs et montrent une réelle motivation pour résorber le problème du travail des enfants, en sensibilisant l'opinion publique, en boycottant certaines productions réalisées par des enfants, en ciblant les entreprises. Dans les Pays industrialisés Il y a une mobilisation des ONG, des syndicats et des associations dans les pays industrialisés, depuis les années 1980, dans le but de dénoncer les conditions épouvantables de travail des enfants, particulièrement dans les usines de jouets ou dans les productions vestimentaires. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture