Le chômage est au coeur des débats, surtout en ces temps de crise. En effet le chômage est en hausse constante, c'est pourquoi il serait légitime de se demander comment le réduire. Un individu est considéré comme chômeur lorsqu'il est sans emploi, qu'il est disponible et qu'il recherche activement un emploi. Cependant la tendance actuelle se caractérise par le développement de la flexibilité, c'est-à-dire par les emplois précaires. Nous pouvons donc nous demander si la flexibilité du travail permet-elle de réduire le chômage. Nous allons donc voir que la flexibilité du travail peut réduire le chômage, ensuite nous verrons les limites de cette relation (...)
[...] Le chômage frictionnel est un chômage temporaire. Il résulte de l'inadéquation des qualifications offertes par les demandeurs d'emplois et des qualifications demandées par les offreurs d'emplois. De plus ce chômage peut être causé par le temps nécessaire pour passer d'un emploi à un autre. Cela est tout à fait normal dans une économie en évolution. D'autre part il existerait un chômage volontaire, c'est-à-dire que ce sont des individus qui refusent de travailler à un salaire aussi faible. En effet selon les classique, lorsque la demande est travail est supérieure à l'offre de travail par les employeurs, les salaires doivent baisser, c'est pourquoi lorsque les salaires diminuent la demande de travail diminue, l'équilibre est donc maintenu. [...]
[...] effet il existe de nombreux effets pervers dans la flexibilité. Nous allons donc voir ces effets négatifs sur l'emploi. Deuxième Partie : On voit que le total des emplois à durée limitée est passé de en 1985 à en 2005. Le nombre a quadruplé. De plus on remarque qu'une des principales circonstances d'entrée au chômage est la fin d'un emploi à durée limité. En effet en des personnes entrées en situation de chômage était dû à des fins d'emplois à durée limité. [...]
[...] Autrefois nous étions dans une segmentation de type monopoliste, c'est à dite le rapport salarial était basé sur les grandes entreprises, les emplois étaient stables alors qu'aujourd'hui nous sommes dans une segmentation où l'emploi n'est pas garantie. C'est une segmentation de type libéral le rapport salarial est basé sur la concurrence entre les salariés, et donc sur la flexibilité du travail. Conclusion : En conclusion on peut dire que la réponse sur la flexibilité est à nuancer. La flexibilité permet donc de réduire le chômage dans certains cas mais cette relation est limitée. [...]
[...] De plus un salarié ne refuse pas une baisse de son salaire réel. C'est pourquoi le chômage ne peut pas être involontaire. On vote également qu'il existe de nombreux temps partiel subi. La flexibilité ne permet donc pas de diminuer le chômage. Par ailleurs pour les keynésiens, il faudrait augmenter les dépenses de l'état (avec un déficit qui sera comblé par la hausse des emplois et donc des impôts) et mettre en place une politique budgétaire extensive (baisse des taux d'intérêt) pour stimuler la demande et l'investissement. [...]
[...] le progrès technique stimule la productivité du travail. On voit également apparaître la tendance des employés a substitué le principe de compétence au principe de qualification. En effet l'employeur potentiel juge lui-même les compéten²ces cela peut être l'attitude lors d'un entretien, ou bien la capacité du candidat a se soumettre à l'employeur. La concurrence entre les salariés est d'autant plus forte que les emplois se font rares (en période de crise). Biken que l'effet de la flexibilité de l'emploi sur l'offre soit positif, les effets de la flexibilité de l'emploi sur la demande sont négatif. [...]
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