flexibilité du travail, favoriser, emploi, théorie néoclassique, entreprises, chomâge
Dans les années 80, la norme d'emploi qui s'est constitué lors des Trentes Glorieuses apportant des garanties et des droits aux salariés se voit contesté par la crise économique des années 1980. Apparaissent ainsi de nouveux statuts qui diffèrent de la norme intitiale par la durée et la stabilité tels les CDD, intérims, contrats aidés, etc...ou par le temps de travail, les emplois à temps partiels. On peut y voir une certaine élaboration de méthodes de travail qui pourrait apporter une solution au chômage qui menace alors.
Une oranisation alors critiqué trop rigide auparavant devient plus flexible car plus adapté au changement du contexte économique et face a la demande diversifiée des ménages. On doit ici différencier l'emploi du travail: l'entreprise demande du travail et offre des emplois.
Mais qu'en est-il exactement, cette relation est-elle confirmée? La flexibilité contribue-t'elle a diminuer le chômage?
Cela signifie bien entendu une hausse de l'emploi. Mais alors, il sera nécessaire de s'appuyer aussi bien sur le terme quantitatif que sur le terme qualitatif.
[...] Une segmentation du marche du travail) La flexibilité a conduit à une augmentation des travailleurspauvres et au développement de la précarité. qui a conduit à une segmentation du marché du travail. En effet, premièrement, nous avons une segmentation au niveau des salariés. D'un coté ceux qui ont un emploi a durée indeterminée(CDI) et de l'autre ceux dit précaires occupant des emplois atypiques. Deuxièmement, dans cette dernière, il y a une séparation entre les jeunes qui entrent a peine sur le marché du travail et qui auront plusieurs débouchés et trouveront un meilleur moyen de s'en sortir et les plus agés, dont le futur semble incertain(exemple d'un vieil ouvrier sans qualification qui ne retrouvera peut être jamais d'emplois fixes). [...]
[...] (CONCLUSION) D'une certaine facon, la flexibilité du travail est donc une méthode adapté pour créer desemplois et lutter contre le chômage. Des exemples comme les USA, le confirment. Cependant, on peut le contester car dans des pays où la méthode est la même, les résultats semblent différer. Le débat est loin d'être clos entreles partisans du plus ou moins de flexibilité pour réduire le chômage et créer desemplois. La question demeure aussi de savoir s'il est préférable d'avoir des emplois fussent-ils précaires plutôt que d'accepter un taux de chômage élevé? [...]
[...] Dans le cas contraire, une trop grande rigidité(protection des salariés), n'incite pas les entreprises à embaucher car si des changements apparaissaient et qu'ils ne seraient plus productifs, il serait difficiles alors pour eux de les licencier. Cependant, d'après des analyses, il semblerait qu'il n'y ait pas de forte corrélation entre la flexibilité et la baisse du chômage. (II. Les limites dela flexibilité) (A. La corrélation entre flexibilité et baisse du chomâge) D'aprèsle document les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l'Irlande connaisse un taux de chômage faible(-8%) avec une forte flexibilité. Des pays comme la Norvège, le Pays-Bas, la Suède, le Danemark connaissent aussi un chômage faible, mais ont une flexibilité plus faible. [...]
[...] La flexibilité: Un outil au service de l'emploi) . La théorie néoclassique) Selon les théories nécoclassiques, le travail est tout simplement une marchandise que l'on échange sur le marché. Les hypothèses du modèle de concurrence pure et parfaite nous amènent à penser qu'il existe un équilibre unique dans ce marché, et que quelque soit les variations, cet équilibre est toujours retrouvé au bout d'un certain temps. Nous sommes alors en présence de deux cas possibles: Soit l'offre de travail est supérieure à la demande, soit elle est inférieure à la demande. [...]
[...] En effet, c'est la variation du salaire qui va déterminer la création d'emplois ou non. (B. Les stratégies des entreprises) Longtemps critiqués et contestés par leur rigidité et face à une demande changeante et diversifiée, les entreprises ont revu leur mode d'organisation, d'où une certaine flexibilité. Cela a permis entre autre l'apparition de nouvelles formes d'emplois tels les CDD, intérims ou encore les emplois à temps partiels qui ont permis un accès plus rapide à l'emploi. En effet, les employeurs n'avaient pas peur d'embaucher sachant que, en cas de besoin, ils pouvaient les licencier a tout moment.D'après le document les coûts de production apparaissent moindre par un allègement des charges sociales. [...]
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