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En économie, et même plus largement dans notre société, le chômage est toujours un thème omniprésent.
Pour avoir de telles disparités entre certains pays, le chômage doit provenir de différentes sources de l'économie. C'est pour cela que l'on distingue deux grands types de chômage : un chômage conjoncturel et un chômage structurel. Le chômage conjoncturel (dit aussi keynésien) est basiquement défini comme un chômage dû à la situation économique d'un pays, soit sa conjoncture. Quant au chômage structurel, il est basiquement défini comme un chômage dû aux structures de l'économie.
Néanmoins il reste à savoir comment expliquer ces chômages et comment lutter contre ces derniers.
Dans un premier temps, nous aborderons le cas du chômage conjoncturel (I), ses causes et comment lutter contre ce type de chômage, puis dans un second temps nous analyserons le cas du chômage structurel (II), et tout comme pour le chômage conjoncturel, nous verrons ses causes et comment lutter contre lui.
[...] Il peut y avoir une flexibilité qualitative interne. Celle-ci va permettre à l'entreprise de jouer sur lapolyvalenceetchanger un salarié de poste sans coût supplémentaire. A travers cette flexibilité, l'entrepreneur pourra donc avoir la possibilité de faire des changements tactiques dans l'entreprise.Mais cela nécessite d'avoir des salariés correctement qualifiés. Il peut égalementyavoir une forme de flexibilité externe. A travers celle-ci, l'entreprise va pouvoir diminuer certains de ses coûts en ayant recours à de l'externalisation, à de la sous-traitance. L'entreprise en déléguantva faire diminuer ses coûts car cela auraitparfoisété plus coûteux si elle avait faitses tâches elle-même. [...]
[...] Ce type de flexibilité est un système social qui va venir apporter de la flexibilité aux entreprises, en l'occurrence une facilité à licencier, et une sécurité aux employés qui perçoivent des indemnités de chômage. Cela va donc permettre aux entreprises de s'adapter en fonction de la main-d'œuvreréellementnécessaire, tout en permettant aux employés d'avoir une sécurité en cas de licenciement et donc d'avoir l'esprit plus tranquille. Cela vient donc apporter un certain confort. De ce fait, en amenant de la flexibilité à l'emploi on va venir diminuer les barrières à l'embauche et donc limiter le chômage structurel. [...]
[...] Cette flexibilité quantitative peut être interne. Par exemple, sile besoinaugmente on peut avoir recours aux heures supplémentaires afin de s'adapter à la hausse de la situation économique et donc de savoir élever son niveau de production. Ensuite, en cas de baisse de l'économie, l'entreprise pourra avoir recours au chômage partiel. Par définition, le chômage partiel ou le chômage technique, c'est le fait qu'une entreprise peut faire baisser l'activité de ses salariés, souvent en raison d'une baisse de l'activité économique ou même de problèmes liés à l'économie. [...]
[...] Néanmoins, cette définition du chômage peut se voir quelques variations ou harmonisations. En effet c'est le cas, avec l'Union Européenne qui ajoute principalement une particularité : la semaine de référence. Pour être chômage au sens de l'Union Européenne il faut réunir 3 conditions : ne pas avoir travaillé1 h durant la semaine de référence qui correspond au moment oùalieu l'enquête pour savoir où sont les chômeurs, il faut être disponible pour travailler dans un délai de 15 jours, avoir fait des recherches actives au cours des 4 semaines avant la semaine de référence. [...]
[...] Au travers de ce choc pétrolier, on est donc rentré dans un cercle vicieux du chômage conjoncturel avec plusieurs caractéristiques comme, un ralentissement de la production qui était majoritairement industrielle à ce moment-là, une augmentation du chômage ainsi qu'un ralentissement de la croissance économique. De ce fait, ce premier choc pétrolier a causé un chômage conjoncturel pour certains pays. Ensuite, le deuxième choc pétrolier de 1979 a lui été causé principalement par la révolution iranienne, quia entraîné une baisse de la production de pétrole et donc une augmentation du prix du baril de pétroledécidéeencore parl'OPEP. [...]
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