En 1945, le taux de syndicalisation s'élevait à 40% des travailleurs actifs occupés. En 2000, ce taux ne s'élevait plus qu'à 8% des travailleurs actifs occupés. Pourtant comme nous l'avons vu dans notre actualité tout à fait récente, les conflits du travail n'ont pas disparu. A l'image de la fermeture du site de Gandrange, du groupe Indien Mittal, et la perte de près de 500 emplois. Grâce à la mobilisation on a assisté, à l'intervention très médiatique de Nicolas Sarkozy avec l'engagement de l'Etat de proposer un plan de relance du site (...)
[...] Ces facteurs vont jouer un rôle prédominant dans la mutation du travail. Effectivement on assiste à la création de nouveaux emplois, emplois qualifiés d'atypiques en opposition avec les «emplois typiques Par emploi typique il semble essentiel de rappeler qu'il reste encore la norme aujourd'hui. Souvent symbolisé par le CDI, il assure une protection économique, mais aussi contre les risques sociaux. En opposition avec ces emplois atypiques» qui ont marqué l'actualité au cours de ces années notamment les CPE-CNE qui ont conduit à de nombreux conflits notamment étudiants. [...]
[...] Le document 22 intitulé relation professionnelles et actions collectives affirment que les conflits localisés tiennent une part plus importante. Désormais, on assiste à des grèves moins encadrées. Les grèves se désinstitutionalisent on assiste comme le document l'affirme à des débrayages. Des actions moins intenses que des grands mouvements sociaux, mais qui tentent d'attirer l'opinion publique. A l'image, de la menace de déversement de produits dangereux dans les rivières. Désormais, on assiste à des actes fragmentés et localisés Néanmoins cela ne signifie pas non plus la mort des grands mouvements sociaux. [...]
[...] C'est pourquoi nous essayerons d'étudier les effets des mutations du travail sur les conflits. Nous répondrons à cette problématique. Ces transformations du travail peuvent-elles mettre un terme aux conflits du travail ? Pour cela, nous verrons dans un premier temps, que les mutations du travail sur ces trente dernières années. Puis dans un second temps, nous étudierons le déclin des conflits du travail. Enfin, pour conclure, nous verrons l'apparition d'une nouvelle forme de mouvements sociaux. Notre analyse portera principalement, sur la France ainsi que dans les PEDM, dans la période contemporaine. [...]
[...] Au contraire depuis ces 20 dernières années, les salariés du public, ont accru les conflits avec leurs employeurs l'Etat Pour résumer, nous pouvons affirmer qu'il semblerait donc que l'esprit y est mais la possibilité et les moyens n'y sont pas. A cause de cette transformation du travail, les conflits du travail semblent perdre de l'ampleur. Néanmoins cela signifie t-il que les conflits du travail disparaitront à court terme. C'est ce que nous verrons dans notre dernière partie. Il semblerait que les confits ont certes diminué mais qu'une nouvelle radication des conflits est apparue. En effet, ces conflits deviennent plus violents, ils cherchent à attirer l'opinion et les médias. [...]
[...] Quels sont les effets des mutations du travail sur les conflits du travail ? En 1945, le taux de syndicalisation s'élevait à 40% des travailleurs actifs occupés. En 2000, ce taux ne s'élevait plus qu'a des travailleurs actifs occupés. Pourtant comme nous l'avons vu dans notre actualité tout à fait récente, les conflits du travail n'ont pas disparu. A l'image de la fermeture du site de Gandrange, du groupe Indien Mittal, et la perte de près de 500 emplois. Grâce à la mobilisation on a assisté, à l'intervention très médiatique de Nicolas Sarkozy avec l'engagement de l'Etat de proposer un plan de relance du site. [...]
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