Extrait:
"la population active et son évolution.
La population active regroupe :
- les actifs occupés
- les chômeurs
- les militaires du contingent (plus maintenant)
L'évolution de la population active dépend :
- du nombre plus important des générations qui arrivent en âge de travailler
- des taux d'activité des moins de 25 ans et des plus de 55 ans
- des taux d'activité féminine."
[...] Cette diminution a été permise par : - la réalisation de gains de productivité (on produit plus et en moins de temps) - certains facteurs sociologiques comme l'augmentation des temps de congés et des accords par branche sur la réduction du temps de travail - des progrès de la législation comme l'abaissement de l'âge de la retraite, la diminution hebdomadaire de la durée hebdomadaire de travail et l'allongement de la scolarité, l'augmentation des congés payés - la récession conjoncturelle : la baisse d'activité passagère peut conduire à diminuer le temps de travail. Aujourd'hui, la question est de savoir si le partage du temps de travail et donc la diminution du travail hebdomadaire est de nature à stopper ou en tout cas à enrayer la progression du chômage. B Les données qualitatives relatives au travail La répartition par âge et par sexe de la population active. [...]
[...] Le travail. I Les aspects qualitatifs et quantitatifs du travail. A La quantité de travail disponible dans l'économie. De la population totale (60 millions) on passe à la population active (26 millions) qui se subdivise elle-même en actifs occupés et actifs non occupés La population active et son évolution. La population active regroupe : - les actifs occupés - les chômeurs - les militaires du contingent (plus maintenant) L'évolution de la population active dépend : - du nombre plus important des générations qui arrivent en âge de travailler - des taux d'activité des moins de 25 ans et des plus de 55 ans - des taux d'activité féminine. [...]
[...] On utilise alors les concepts de production moyenne et de production marginale du travail. Trois types de productivité (ou de production) peuvent être définies : - la productivité totale du travail : c'est le niveau de production atteint pour un niveau de travail utilisé - la productivité moyenne du travail : c'est le niveau de production moyen par ouvrier - la productivité marginale du travail : c'est le niveau supplémentaire obtenu par l'utilisation d'une unité de travail supplémentaire. Elle mesure l'augmentation de production consécutive à l'utilisation d'une unité supplémentaire de travail. [...]
[...] Ces investissements ont un coût : le critère de choix de l'investissement est alors le suivant: - la somme des bénéfices actualisés doit être au moins égale à la valeur actuelle du coût de l'investissement La formation des individus et la croissance économique. Dans nos sociétés développées, il s'avère que la croissance économique résulte principalement du progrès technique qui provient lui-même d'un plus grand savoir, d'une meilleure formation et donc d'une plus grande technicité de la population active ou en tout cas, d'une partie. Bibliographie indicative : - Code du Travail 2008 - 70e ed. [...]
[...] Ces gains sont dus : - à l'accumulation de capital technique (les quantités d'équipements et de matériels au service de l'individu sont de plus en plus importantes) - le progrès technique (l'amélioration de la qualité du capital rend plus efficace l'organisation du travail et les techniques de production) - l'amélioration de la qualité du travail grâce à de nouvelles cadences de travail et de production - à un investissement de productivité ou de rentabilité La réalisation des gains de productivité peut entraîner : - une hausse de la production (produire plus sans embaucher, voire baisser les effectifs) - une hausse des revenus distribués (salaires et/ou profits) - une baisse des prix de vente - une baisse du temps de travail, voire des licenciements. B La notion de capital humain Le capital humain et l'investissement dans la formation. De plus en plus, on considère que le facteur travail revêt un caractère d'investissement ce qui explique alors l'appellation de capital humain. Les économistes analysent le travail comme du capital humain qui constitue un stock de ressources permettant de donner naissance à des flux de revenus futurs. [...]
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