Taylorisme, Ford, Standardisation, parcellisation, pyramide des besoins de Maslow, Sécurité financière
Décollage productivité au début du 20ème siècle pour les entreprises qui adoptent le système de Taylor. Maximisation des bénéfices avec l'entrée en guerre des USA.
Age d'or de l'Europe plutôt vers les années 1950-60.
Méfiance du côté de la classe politique et de certains patrons qui pensent que ça peut susciter de l'insatisfaction et des désordres sociaux, non prévus. Du côté des syndicats, on a cru dans ce système pour gagner plus mais qu'en réalité on a une intensification du travail mais la compensation salariale ne sera soit pas suffisante, soit non existante.
[...] - Participation, implication des salariés dans la prise de décision. On fait se rencontrer des cadres pour qu'ils puissent discuter en vue des prises de décisions. Association des individus à la prise de décision. Autonomie des salariés doit aussi concerner la prise de décision. Amélioration de l'information, recherche de plus de transparence dans l'entreprise. - Formation, investissement dans la formation De plus en plus d'innovations, pour lesquelles les cadres ont besoin d'être formées. La formation devient un enjeu très important pour aller de paire avec des évolutions de l'entreprise. [...]
[...] Organisation : Action collective organisée. Entreprise : organisation très informelle (affectif, relations entre les gens, tensions, émotions). Les facteurs de bonnes relations en entreprise Relations pacifiques et efficaces pour l'épanouissement des individus, pour la satisfaction de leurs besoins, mais aussi pour l'objectif de l'entreprise, qui est d'être rentable. Il faut concilier la satisfaction des besoins des individus avec els objectifs de l'entreprise. Reprendre la pyramide de Maslow pour revoir les priorités. Il faut nouer des relations de travail mais aussi des relations informelles, qui soient aussi satisfaisantes. [...]
[...] Coupe court aux études et essaie de développer des machines tout seul. S'allie avec Edison pour fonder une industrie de luminaires, puis essaie de créer une entreprise automobile qui échoue. Il revient à la charge en usant les théories Tayloriennes et insert des chaines de montage. Dans le système Ford, parcellisation des tâches poussées au maximum. Standardisation de deux choses essentielles : pièces et produits. C'est le fait de fabriquer à grand échelle qui selon Ford va entrainer une baisse des prix. [...]
[...] Du côté des syndicats, on a cru dans ce système pour gagner plus mais qu'en réalité on a une intensification du travail mais la compensation salariale ne sera soit pas suffisante, soit non existante. Une fois le Taylorisme généralisé compris dans le secteur tertiaire), dans les années 60-70, on observe des mouvements de contestation, et des mécontentements. Les critiques dès l'époque contemporaine de Taylor sont focalisées sur trois points importants : - Approche de Taylor qualifiée de mécaniste ( individu perçu comme un agent passif, refus de considérer la solidarité de groupe. - Approche doctrinaire on ne peur réfuter l'approche Taylorienne dans le travail. Séparation entre exécution et conception. [...]
[...] Il y a des gens qui suscitent de la motivation, et des responsables formels qui ne jouent pas forcément leur rôle. Exple de la Seita, entreprise publique de Cigare, à l'époque Les responsables d'entreprise sont trop vite dépassés, et ce sont les ouvriers d'entretien qui ont le pouvoir car ils maitrisent une zone d'incertitude. On a des pannes de machine qui ne peuvent être gérées par les ouvrières. Le responsable est inapte face à la machine et est obligé de se confronter aux décisions. On pense au pouvoir de l'expert. [...]
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