Qualifications, compétences
Aujourd'hui, il existe un débat sur la valorisation, des compétences, qualifications, des salariés. Beaucoup d'entreprise ont orienté leur pratique de la GRH vers un modèle de la compétence. Encouragé depuis les années 80's, par les pouvoir public à mettre en place une GPEC, (gestionprévisionnel des emplois et) la loi de cohésion social du 18 janv. 2005, institué l'obligation de négocier la GPEC pour les entreprise et les groupe de plus de 300 salariés. Par ailleurs un accord national inter professionnel sur la GPEC, a été signé le 14 novembre 2008, il vise à relancer les négociations en la matière.
[...] Donc la question de l'articulation de l'individuel et du collectif est le point faible des démarche de compétences. Pour mobiliser un collectif, l'employeur doivent favoriser les coopérations, salariés, mais la tendance est de coupler la logique de compétence a des évaluations individuels et à un individualisation des rémunérations, les mobilisations collectives rarement récompensés. La logique de compétence interroge les pratiques des employeurs. Rien ne garantit les employeurs donnent aux salariés les moyens d'utiliser et développer leurs compétences. Le risque est celui d'une perte de compétence pour les salariés les plus vulnérables. [...]
[...] Le système des qualifiactions professionnel s'appuie sur deux pilliers : les conventions collectives qui prennent en charge la classification des emplois et la hierarchisation des postes emplois : l'enseignement professionnel qui classe et organise les savoir autour de diplômes. Le système de qualification participe à la régulation de la relation salariale en premettant aux travailleur de disposer de qualifiactionscollectivemment négocié. Et susptible d'être opposé aux décisions des employeurs. Ainsi le contrat de travail qui est conclu prend place dans un cadre plus générale que les conventions collectives. Et il relie la qualification du poste et du travailleur. Ce système décrit des métiers dans le cadre du travail industriel. [...]
[...] La définitionde la compétence mobilise une capacité reconnue de droit. Et une capacité détenue de fait. Elle se décline en savoir, savoir-faire et savoir être. C'est deux notions se recoupent en parties, elle se réfère toutes les deux a des capacités acquise par la formation et l'expérience où dans le contexte de travail, et elle se réfèreégalement a une reconnaissance de ces capacités, différence porte sur la définition des capacités requise par l emplois, qui renvoi d'avantage à la classification des emplois(système de qualification) et au référentiel des compétencesdans le modèle de la compétence. [...]
[...] Les processus de productions et les produits sont de moin en moin standardisés. On assiste à une monté des services. Parralèllemment a cela la demande des consomateursevolue, ils recherchent des produits personnalisé et de qualité. On assiste de changemement dans travail mais aussi dans l'emploi. On assiste à un développemment des emplois précaire et à une recherche de flexibilté croissante de la part des entreprises. Avec toutes ces evolution le système des qualification qui lui privilégie une classification statique des diplômes, ce système devient un obstacle à la flexibilité, à la polyvalence de la M oeuvre, dans des entreprises qui de veulent de plus en plus flexible. [...]
[...] Conclusion chapitre : Le débat autour des qualifications et compétences tend à opposer le système des qualifications. Mais pour certain auteurs (Colin et Grasser) on assiste à un infléchissement limité de la relation salariale” D'une part d'émergence des démarches compétences reste limité, elle concerne les entreprises de grandes taille. D'autre part cette démarche, elle ne traduit pas un changement de modèle productif. Elle accompagne plus tôt un changement de mode de gestion de la main d'œuvre dans le sens d'une plus grande individualisation. [...]
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