L'interprétation libérale du chômage, volontaire, involontaire, chomage, emploi, structurel, naturel
On peut distinguer le chômage involontaire du chômage volontaire
Le chômage involontaire étant : lorsque les individus souhaitent travailler au taux de salaire courant offert sur le marché et ne trouve pas d'emplois.
Le chômage volontaire étant : lorsque les individus ne trouvent pas d'emploi parce qu'il demande un salaire supérieur au salaire d'équilibre du marché.
Le chômage involontaire parait incompatible avec le fonctionnement du marché du travail. En effet, les salaires sont flexibles et le marché du travail est toujours en équilibre malgré les mouvements de l'offre et de la demande de travail.
[...] ( Il existe donc une offre de main d'œuvre trop importante pour les qualifications les moins recherchés. Pour les libéraux le chômage en résultant est volontaire. La présence d'une trop grosse offre pour certaines qualifications veut dire que le prix d'équilibre est plus faible sur le marché du travail. Les jeunes arrivants sur le marché du travail ont une formation inadaptée demandant un salaire égale à leurs ainés. De même pour les travailleurs venant d'un secteur en déclin qui demande un salaire équivalent a ce qu'il avait avant. [...]
[...] Pour les néoclassiques, les travailleur et les syndicats, en rigidifiant les salaires et en résistant a la baisse des salaires, favorisent le développement du chômage. L'indemnisation du chômage favorise les licenciements. Les syndicats seraient incités à résister plus fermement aux baisses de salaires qu'aux réductions d'emplois. Par ailleurs, l'indemnisation réduit le coût du chômage pour les individus. D'où la théorie du job search , qui est : que dans un premier temps l'individu est un chômeur volontaire trouvant plus de bénéfice a rester au chômage plutôt qu'a allez travailler , dans l'attente d'offre meilleur et compte tenu de l'indemnisation dont il bénéficie. [...]
[...] Mais il s'agit d'un chômage de Plein emploi. Tout les individus souhaitant travailler au taux de salaire actuellement payé dans les entreprises trouvent un emploie. De plus le temps passé au chômage n'est pas une perte de temps, au contraire l'individu n'ayant pas beaucoup d'information; cela lui permet de trouver le meilleur emploie possible, pour lui (salaire), et pour la collectivité ( productivité) . ( Le chômage structurel Pour les néoclassiques, le chômage structurel est un chômage volontaire à cause d'une inadaptation sur le moment entre les offres et la demande de travail. [...]
[...] L'interprétation libérale du chômage ( Chômage volontaire et chômage involontaire On peut distinguer le chômage involontaire du chômage volontaire Le chômage involontaire étant : lorsque les individus souhaitent travailler au taux de salaire courant offert sur le marché et ne trouve pas d'emplois. Le chômage volontaire étant : lorsque les individus ne trouvent pas d'emploi parce qu'il demande un salaire supérieur au salaire d'équilibre du marché. Le chômage involontaire parait incompatible avec le fonctionnement du marché du travail. En effet, les salaires sont flexibles et le marché du travail est toujours en équilibre malgré les mouvements de l'offre et de la demande de travail. [...]
[...] Or quand la demande de travail baisse, on ne peut éviter le chômage que si les salaires réels baissent aussi. Prenons pour s'en convaincre un cas de récession : Supposons qu'une récession de l'activité des entreprises les conduisent a réduire la demande de travail de LD1 a LD2, ce mouvement devait entrainé une baisse du salaire réel de WR1 a WR2. Si les employeurs sont contraints de maintenir le salaire a WR1 a cause des limitations des institutions telles que le SMIC ; ils doivent alors réduire l'emploi à L3 tandis que l'offre de travail reste inchangée en L1. [...]
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