Économie du travail, économie de l'emploi, chômage, demande de travail, jeunes diplômés
Comment sommes-nous arrivés à donner une spécificité au marché du travail ? Pourquoi existe-t-il plusieurs théories économiques? Pourquoi cette branche s'est-elle constituée?
Cette branche est plutôt contemporaine, il y a environ une trentaine d'années. Cette analyse est récente, car elle découle d'un problème macroéconomique. D'un point de vue macroéconomique, on ne peut pas tout étudier, et c'est pour cela que cette branche est née.
La notion de taux de chômage naturel. Réponse à la courbe de Phillips avec Friedman.
La macroéconomie est marquée par une confrontation sur les relations entre l'inflation et le chômage, c'est à dire entre les keynésiens et les classiques. Quel est le débat ? C'est en fait la courbe de Phillips.
[...] D'une part, la répartition de l'activité n'est pas réparti de manière égale sur tous les territoires, certaines régions en ont plus que d'autres. On a des décalages géographiques et régionales au sein d'un même lieu. On a des problèmes de mobilité géographiques qui ont un impact sur cette inadéquation. ( Le problème d'inadéquation à partir de deux choses : - Des indicateurs plus précis. - Typologie, caractérisation des situations. On a trois grands indicateurs régionaux : - L'enquête de conjoncture de l'INSEE. - Le taux de tension : tension mesurée par l'ANPE, rapport entre offre et emploi de l'ANPE. [...]
[...] - La catégorie simple représente ceux qui ont un emploi mais qui sont tout de même inscrit à l'ANPE. Cette analyse est complexe mais pourtant très révélatrice de l'atmosphère présente en France en ce moment. ( Pour une question d'harmonisation, elle utilise le sens de chômage au sens du bureau international du travail, du BIT. Elle définit le chômeurs a partir de trois critères. - C'est une personne qui n'a pas travaillé pendant la semaine de référence, ne serait ce qu'une heure dans cette semaine. - La personne doit être disponible dans un délai de deux semaines. [...]
[...] Il y a un volume de travail sans intérêt. Ces phénomènes de trappe est du au taux marginal effectif d'imposition. C'est ce que l'on va perdre quand on va travailler, cela correspond aux impôts que l'on paye, plus les prestations que l'on perd lorsque l'on gagne plus. Ce taux plus il sera proche de plus cela voudra dire que l'on gagne la même chose lorsque l'on travaille plus, on ne gagne rien à travailler plus et inversement. On considère qu'un taux de n'est pas assez incitatif à travailler plus. [...]
[...] ( L'ANPE ne mesure pas le chômage mais elle mesure les demandeurs d'emploi. On peut être demandeur d'emploi et aussi un travailleur. Selon l'ANPE, les demandeurs d'emploi sont inscrit au huit catégories, les plus intéressantes sont les trois premières. - La première catégorie se constitue les sans emploi (moins de 78 heures), être disponible immédiatement (dans les quinze jours) ceux qui sont à la recherche d'un emploi à temps plein et à durée indéterminé. (CDI). Cette catégorie représente personnes. - La deuxième catégorie est la même chose que la catégorie plein mais ils sont à la recherche d'un travail à temps partiels. [...]
[...] - Les sorties du chômage ne coïncident pas toujours à la reprise d'une activité car ils rentrent dans un autre système de protection sociale, soit ils entrent dans une formation. L'incidence des prestations sociales sur la trappe à chômeurs : Ce sont des chômeurs qui ne sont plus comptabilisés par l'ANPE. Les prestations sociales poussent les gens à ne plus travailler. On demande aux chômeurs à partir d'enquêtes si ils sont prêt à accepter des emplois, plus de des cas, le premier emploi proposé est accepté. Et c'est encore plus vrai pour les chômeurs de longue durée. Les prestations ne créé donc pas de chômage. [...]
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