IE, IDE, investissements, Maroc, Monde, economie
La mobilité internationale du capital (K) n'est pas un phénomène récent, ses premières prémices remontent au 16ème et 17ème siècle avec l'intégration de l'Amérique dans l'économie monde européen. Mais cette mobilité n'a commencé à prendre de l'ampleur qu'avec les vagues de colonisation du 19ème siècle. Depuis lors l'investissement international n'a cessé de se renforcer, en tant que composante des relations économiques entre les nations et plus tard en tant qu'un des moteurs du mouvement de la nationalisation.
Ces dernières années ont été marqué au niveau mondiale par une augmentation très sensible des flux de l'investissement international, sous tendue par un changement perceptible des stratégies des économies nationales vis-à-vis de ce capital, et ce aussi bien au niveau des pays développés et émergents qui accordent une grade importance à l'attraction de l'investissement international, qu'au niveau de certains pays en développement (PED) qui cherchent à suivre cette tendance, en effet dans beaucoup de ces derniers, l'évolution récente des politiques économiques, des lois et des règlements confirment la situation portant sur l'assouplissement des stratégies concernant les investissements internationaux et l'adoption des textes visent à améliorer l'efficacité des procédures administratives et l'octroi d'incitation à l'investissement étranger (IE).
[...] Ces évaluations peuvent prendre deux formes : quantitative et qualitative. Mesure quantitative : indices des entrées d'IDE L'attractivité des pays peut être évaluée sur la base de données macro-économiques. Elle est alors liée à la possibilité pour le pays d'accueil d'offrir des conditions nécessaires pour le rendement des investissements localisés sur son territoire. Dans ce cadre, la CNUCED propose dans son Rapport sur l'Investissement dans le monde (WIR 2003), deux indicateurs permettant de classer les pays selon les entrées d'IDE effectives et potentielles. [...]
[...] La responsabilité sociale ne se résume pas à un principe de conformité formelle à la lettre des réglementations. La RS consiste à parvenir les actes d'atteinte ou de complicité d'atteinte aux normes de droit, et à en promouvoir les objectifs, à commencer par les objectifs du droit international, sur un champ élargi de domaines relevant du social, de la protection de l'environnement, de l'amélioration de la cohésion sociale, de la gouvernance et des comportements sur les marchés. La RS est basée sur deux grandes approches : L'éthique : Historiquement, les premières approches de la RS s'appuyaient sur des points de vue philosophiques ou religieux, au regard de « normes morales » prohibant des produits ou des secteurs d'activité (alcool, tabac, armement, ) et prescrivant des comportements souhaitables conformément à l'éthique ou au bien commun. [...]
[...] La prise de participation dans le capital d'une entreprise déjà existante. Les bénéfices réinvestis à l'étranger. Ces opérations se matérialisent généralement sous les formes suivantes : création de filiales, les transplants, les fusions, les acquisition - La définition de l'IDE par l'OMC L'OMC indique « il y a investissement étranger direct (IDE) lorsqu'un investisseur basé dans un pays (le pays d'origine) acquiert un actif dans un autre pays (le pays d'accueil) avec l'intention de le gérer L'investisseur est alors généralement dénommé et l'actif ou .² II - Types d'IDE On peut classer l'IDE selon trois critères : d'abord la nature des flux, qui comprenne les apports nets en capital accordés par l'investisseur direct sous forme d'achat d'actions ou de parts, d'augmentation de capital ou de création d'entreprise ; les prêts net y compris les prêts à court terme et avances consenties par la maison mère à sa filiale ; les bénéfices non distribués et réinvestis. [...]
[...] La théorie du cycle et produit tente d'expliquer la production internationale en introduisant une approche dynamique et séquentielle. La présentation de la théorie de Vernon L'IDE constitue aux yeux de Vernon une étapes dans le cycle de vie d'un produit des firmes oligopolistiques, cycle qui peut être diviser en trois phases : innovation, puis développent et enfin standardisation. La première phase est celle du lancement du nouveau produit sur le marché domestique. La demande pour le produit est relativement inélastique en cette étape initiale, en raison des avantages monopolistiques spécifiques dont dispose encore la firme. [...]
[...] V - La complexité des relations professionnelle au sein de l'entreprise Depuis 1999, certains responsables de grandes entreprises étrangères commencent à incriminer publiquement les méthodes utilisées par quelques syndicats pour la défense des intérêts des employés et font état de la mauvaise compréhension par les ouvriers du sens du syndicalisme, allant même jusqu'à affirmer que l'action syndicale au Maroc détruit l'outil de production alors qu'en fait elle devait le réserver. Pour eux, cette situation est de nature à dissuader les investisseurs étrangers de s'implanter au Maroc. [...]
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