L'économie brésilienne est étroitement liée à son histoire : les premières formes d'industrie basées sur l'exploitation du bois et de la canne à sucre ont marqué le paysage économique du pays à long terme.
La colonisation a entraîné la découverte de plusieurs nouvelles essences de bois, dont le pau brasil (bois de feu), d'où le nom du pays « Brésil ». Son exploitation fut le début de la déforestation qui est toujours d'actualité avec des espèces actuellement exploitées encore plus nombreuses.
Les ouvriers des plantations sont considérés comme des esclaves.
[...] C'est avec un point de vue objectif que nous allons mettre en en parallèle le modèle HOS et les différentes étapes du développement du Brésil. Etape 1 : Comme exposé précédemment, avant son essor économique, le Brésil été avant tout un pays à dominante agricole, avec un secteur informel important, son développement technologique ainsi que ses structures été assez faible. Dans les années 60 à 80 le Brésil à commencer à mettre en place son secteur industriel, mais aussi un réseau de transport et de communication, qui à permis au pays de connaitre une croissance record de en moyenne jusqu'en 1974, on a parlé alors de miracle brésilien ce qui marque l'entré du Brésil dans le processus du modèle HOS. [...]
[...] Nous y reviendrons en étape 3. Etape 2 : L'étape deux concerne l'accession aux instances internationales, l'établissement d'une monnaie internationale, d'un système éducatif dans le supérieur, et d'un système de recherche et de développement. En ce qui concerne les instances internationales, c'est en 1948 que le Brésil a adhéré au GATT puis à l'OMC dès sa création, ainsi qu'a l'ONU. Malgré tout, ce n'est que sous le mandat du président Lula que le Brésil a fait entendre sa voix dans les instances internationales avec une stratégie agressive au niveau diplomatique, profitant de son statut de première puissance d'Amérique du Sud. [...]
[...] Frein de l'influence de la Chine dans la croissance brésilienne 4.3 .1) Pourquoi la Chine freine ses crédits La Chine a resserré sa politique monétaire en augmentant ses taux d'intérêt pour tenter de contrôler la surchauffe de son économie (envolée des crédits, valeurs des actifs supérieure à leur valeur réelle, pressions inflationnistes . Dans ce cadre la Chine poursuit ainsi sa lutte contre l'inflation. La banque centrale de Chine a fait grimper ce taux à pour un prêt d'un an. De plus elle a annoncé une augmentation des taux de réserves obligatoires des banques pour lutter contre le surplus de liquidités (provoque de l'inflation) .2) Économies interdépendantes La Chine et le Brésil sont mutuellement dépendants. En effet, le géant asiatique est le premier fournisseur et client du Brésil, avec des échanges. [...]
[...] L'agriculture est donc un des leviers du développement du pays. Quatrième exportateur mondial de produits agricoles, c'est une grande puissance dans ce domaine. Il est leader mondial en tant que producteur et/ou exportateur de nombreux produits. On constate que la modernisation ainsi que les gains de productivité ont marqué la dernière décennie. Les principales productions agricoles sont le soja, le café, le manioc, les oranges, les céréales, le maïs, le riz, la canne à sucre et l'alcool. Les principales productions animales sont les bovins, volailles, et porcs. [...]
[...] Malgré ces injections massives de capitaux, le Brésil a enregistré les mois qui suivent une baisse de de sa production industrielle le plus bas niveau enregistré depuis 1991causant une perte de plus de 500.000 emplois. La Balance commerciale elle aussi se retrouve déséquilibrée et termine négative quelques mois suivant le début de la crise, une balance toujours positive depuis 2001. Dans cette conjoncture, la croissance chute à mais reste élevé au vu du reste du monde, mais aujourd'hui, le Brésil a relancé sa croissance de plus belle avec une augmentation estimée à su PIB. [...]
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