taux de change, politique économique, déficit, banque centrale européenne, devises
Dans la période d'après-guerre, au niveau mondial, on a posé comme objectif que le taux de change soit fixe.
En France, on a posé que le taux de change était un objectif de politique économique. Par contre, la banque centrale européenne dit et répète que le taux de change n'est pas un objectif de politique économique.
Le cas de l'économie des Etats-Unis : le problème est que les Etats-Unis a un déficit des balances de transactions courantes. Et un déficit extrêmement important puisqu'il est de l'ordre de 500 milliards. En principe, un tel déficit entraîne une sortie de devises.
[...] Par contre les marchés de capitaux se manifestent rapidement ! Toute manifestation dans une zone provoque une fuite de capitaux. Les marchés de capitaux souligne Dornbush sur réagissent. Ce sont eux qui réagissent le plus vite et provoque une dépréciation de la monnaie plus forte que ce qui aurait été nécessaire pour simplement réagir à ces phénomènes d'inflation. Il y a un excès de réponses au niveau d u taux de change. Ce qui veut que les variations di taux de change sont excessives par rapport à ce qui devrait se produire dans une zone pour rééquilibrer la balance des transactions courantes. [...]
[...] Le taux de change n'est pas un objectif de politique économique quand le pays est un pays de monnaie de réserve. Mais cette situation qui empêche de recherche un taux de change équilibre crée un certain nombre de problèmes au niveau international et fragilise les économies qui elles, dépendent du variation des changes. Cas de la France dans les années 80-90 : en France, le taux de change a été un objectif de la politique monétaire à côté de l'objectif de lutte contre l'inflation. [...]
[...] De ce fait, les Etats-Unis ne sont pas obligés de changer leur monnaie en cas de déficit de la balance des transactions courantes. Ils peuvent payer ses déficits directement en dollars. Il n'y a donc pas de conséquence immédiate sur la valeur du taux de change. La conséquence est que tout déficit de la balance des transactions courantes américaines alimente le monde entier en dollars (wouuuahhh Et donc tous pays qui a un excédent commercial : le Japon (plus de 100 milliards de dollars), la Chine, le reste de l'Asie, les pays d'Europe OCDE qui engrange un excédent. [...]
[...] Comme les mouvements de capitaux sont très rapides et très changeante, une banque centrale qui se fixe comme objectif un taux de change déterminé devrait modifier constamment sa politique monétaire ; et donc ceci est une raison pour laquelle au niveau international, on est dans un taux de change flottant. L'explication de cette variabilité des taux de change du point de vue théorique a été fournie par R. Dornbush dans les années 70 justement à partir de ceux blocs qui influencent le taux de change. Si l'on considère ce qui se passe à la suite par exemple d'un accroissement de la masse monétaire dans une zone, accroître signifie créer des tensions inflationnistes. [...]
[...] Le taux de change est un objectif de politique économique ? Dans la période d'après guerre, au niveau mondial, on a posé objectif du taux de change fixe. En France ? On a posé que le taux de change était un objectif de politique économique. Par contre, le banque centrale européenne dit et répète que le taux de change n'est pas un objectif de politique économique. Le cas de l'économie des Etats-Unis : le problème est que les Etats-Unis est un déficit des balances de transactions courantes. [...]
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