Le 4 janvier 1960, le Royaume-Uni, l'Autriche, le Danemark, la Norvège, la Suède et la Suisse signent la Convention de Stockholm, qui créée l'Association européenne de libre-échange, voulue par les Britanniques pour contrecarrer les progrès de la Communauté économique européenne. Trois ans plus tard le pays demande son adhésion à la Communauté européenne (...)
[...] Le Danemark, l'Irlande et le Royaume-Uni adhèrent à l'Union européenne le 1er janvier 1973. En premier lieu, la Grande-Bretagne avait demandé un allègement de sa contribution financière. Les Six acceptent d'accorder une période transitoire plus longue ans) dans ce domaine. Le budget communautaire était alors constitué par les droits de douane sur les produits industriels et les prélèvements sur les denrées agricoles. La Grande-Bretagne avait continué à importer du Commonwealth des produits alimentaires et des matières premières. D'où ses importants versements au budget communautaire alors que les dépenses de celui-ci en Grande-Bretagne restaient faibles, notamment pour l'agriculture. [...]
[...] Le Renouveau de l'Economie Britannique. Paris, ECONOMICA Europa, Le boom des années 60 Une période de croissance économique Histoire de l'Union Européenne Europa, “Introduire l'euro:critères de convergence”, Synthèse de la législation Europa, principe de la reconnaissance mutuelle dans le marché intérieur Synthèse de la législation Général de Gaulle, Conférence de presse Le premier Veto du Général de Gaulle Paris, France.14 Janvier1963 OCDE, Science, technologie et industrie : Tableau du bord de l'OCDE 2007, Paris, OCDE OECD, United Kingdom, OECD Science, Technology and Industry Outlook Général de Gaulle, Conférence de presse Le premier Veto du Général de Gaulle Paris, France.14 Janvier1963, page 2 Esposito Marie Claire, Champroux Nathalie, Offerle Bernard. [...]
[...] Les importations des pays tiers est contraire aux règles établies par les pays continentaux, qui fixent les prix rigoureusement, n'acceptent pas des subventions Ensuite l'entrée éventuelle de l'Angleterre va inciter d'autres Etats de poser leurs candidatures, mais ça va changer complètement la communauté, qui ne sera plus cohésive. Le Général de Gaulle voit surtout dans la Grande-Bretagne un cheval de Troie des États-Unis : l'adhésion britannique aurait, selon lui, dénaturé l'Europe européenne en Europe atlantique. Il se montre partisan de l'approfondissement et de l'accélération du Marché commun plutôt que de son élargissement. Il met en doute l'esprit européen de la Grande-Bretagne. Le Royaume-Uni rentre dans la Communauté Européenne en 1973. Quels problèmes doit-il régler pendant la période de transition ? [...]
[...] Un mécanisme correcteur a été adopté le 17 mai 1976, pour tous les pays en difficultés économiques. Mais la Grande-Bretagne n'en profita pas, ayant bénéficié du pétrole de la Mer du Nord. En 1979, la Grande-Bretagne contribuait pour aux recettes communautaires et ne recevait que des dépenses. Un autre point est le rôle international de la livre sterling. La France demande à l'Angleterre de cesser, à moyen terme, d'être une monnaie de réserve internationale. La Grande-Bretagne conserve en effet des liens monétaires étroits avec les pays du Commonwealth. [...]
[...] Concernant la Recherche et l'innovation, le Royaume-Uni est-t-il mieux ou plus mal placé que les autres pays de l'UE ? A l'arrivée du New Labour au pouvoir (1997), les performances du Royaume-Uni en matière de R&D sont inférieures à celle de l'Allemagne et la France et surtout de la Suède et la Finlande. L'ambition du pays est de passer le montant des dépenses en 1999) à du PIB jusqu'à 2014.[2] La recherche et l'innovation sont devenues l'objectif prioritaire des politiques publiques des pays de l'Union européenne. [...]
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