Les magazines et les journaux sont de plus en plus nombreux à comparer les effets de la crise de 1929 avec ceux de la crise actuelle et ils évoquent les différentes crises économiques que l'ensemble du monde a pu connaître depuis les années 1930. En effet, dans ces années-là, il y eut une forte déflation, une énorme baisse de la production, une importante hausse du chômage et un effondrement du commerce international. L'économiste Joseph Schumpeter disait de cette époque que c'était « un creux de la vague » donc que cela n'était que passager et que tout se rétablirait d'ici peu ; et Jean-Paul Fitouni, économiste, affirme actuellement que « les leçons de la crise de 1929 ont été tirées ». En 1920, l'automobile dominait, un phénomène explosif, de 2002 à 2007 s'était plutôt l'immobilier qui faisait ravage. Un point commun à ces deux crises est la baisse marquante de l'évolution de la productivité et de l'évolution salariale dans les entreprises. À raison de surproduction en 1929, il y eut une stagnation des salaires et ce fut une crise. Suite à cela, ce fut l'endettement de la croissance aux États-Unis après le boom d'internet en 2000. En effet, depuis le XIXème siècle, ces crises répétitives amènent à une étude particulière, celle de Clément Juglar. La prévoyance est présente face à ces phénomènes répétitifs. Mais, il est difficile d'anticiper les effets de crise, on ne peut pas espérer de prévisions rationnelles. L'économie mondiale est fragilisée ; plusieurs économistes ont un avis partagé sur la cause de cette fragilisation. Tout d'abord Jean-Luc Gréau, qui pour lui, la crise financière est associée à un surendettement des ménages américains. Ensuite, Michel Aglietta partage la même opinion puisque pour cet économiste, la crise actuelle se définit par des modifications structurelles qui ont créé un déséquilibre des pays développés, mais aussi des pays émergents ; ces modifications sont dues par la montée en puissance des actionnaires vis-à-vis des salariés. Puis, Denis Durand, cette crise est liée à des déséquilibres qui croissent sans cesse tels que le capital accumulé, qui provient d'une situation cyclique en période longue et durable. Donc actuellement ce n'est pas seulement la crise financière qui cause des dégâts, mais c'est aussi en matière de capitalisme. Enfin pour François Chesnais la crise de finance n'est pas que conjoncturelle, mais elle a un impact sur le système
[...] On décompose les PED en fonction de leur niveau de développement. Ainsi, on distingue les nouveaux pays industriels (NPI) qui se caractérisent par un rythme de croissance économique très rapide, une part importante, par rapport aux autres PED, du secteur secondaire dans le PNB[2] (Produit national brut), une part croissante des services, un degré d'ouverture sur l'extérieur très élevé (entre 60 et ) et de forts excédents commerciaux. On peut citer la Chine, l'Indonésie, l'Inde et les quatre dragons d'Asie[3] comme exemple. [...]
[...] Depuis avec la crise qui a commencé à toucher les entreprises dès 2008, les IDE ont reculé de façon globale en touchant à la fois les économies développées, en développement et de transition. Dans les pays développés, on constate une importante baisse des IDE de 41% en 2009 par rapport à 2008, touchant principalement des pays comme les Etats-Unis, la Grande- Bretagne, la France et l'Espagne. Dans les pays en développement, on constate pour la première fois depuis six ans, une baisse de 35% en 2009. Ils ont aussi baissé de 39% dans les économies en transition du sud-est de l'Europe et du Commonwealth par rapport à 2008. [...]
[...] Source: WIKIPEDIA, Burj Khalifa in Dubaï, (en ligne), disponible sur Internet : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Burj_Khalifa.jpg consulté le 07/03/2010 Un dernier pays choisi réagissant face à la crise est Dubaï qui fait parti des Émirats Arabes Unis. Dubaï à une économie diversifiée basée sur le commerce maritime, et la culture perlière. C'est le troisième pays le plus riche de la région derrière l'Arabie Saoudite. Il se classe au quatrième rang au niveau du PIB par habitant dans le monde. Ce pays a découvert des gisements de gaz et de pétrole qui ont eu des prix relativement chers n'ayant pas freiné la production du fait de la richesse du pays. [...]
[...] On peut les caractériser grâce à un faible niveau de revenu par habitant, un taux d'alphabétisation inférieur à un très faible poids du secteur industriel (moins de du PNB) et grâce à des perspectives de développement extrêmement limitées. Ils sont au nombre de 40 pays, situés principalement en Afrique. Nous pouvons à présent parler de l'investissement. Il faut savoir que celui-ci à un impact différent selon le secteur d'activité concerné et les pays. L'investissement au sens large se définit comme une opération réalisée par un agent économique consistant à acquérir des moyens de production (machines, équipements). L'investissement a baissé pendant la crise. En effet, on a vu les taux d'intérêt augmentés. [...]
[...] Qui sont les réels vainqueurs de la crise ? Les gérants ne vivent pas de la même manière cette crise. En effet, il y a trois ans, les actions roulaient sur l'or d'une manière puisque l'immobilier, les actions avaient leur valeur qui augmentait considérablement. Cela ne durera pas si longtemps, car en 2007, l'économie dans l'ensemble du monde s'est vue s'affaiblir jusqu'en septembre 2008 : la chute totale avec l'éclatement du marché financier. Les marchés sont encore marqués par la baisse. [...]
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