Macroéconomie monétaire, banking school, Ricardo, monnaie divisionnaire, banque
L'optique macroéconomique monétaire ne permet pas d'opposer keynésiens et néoclassiques.
Les currency school de Ricardo sont dit «classiques», ils ont peur de l'inflation.
Pour eux l'or est la seule valeur sûre. Le papier est un instrument, comme le certificat d'or par exemple. Ils finissent cependant par vite accepter que les billets fassent circuler une proportion d'argent supérieur à la quantité d'or existante.
L'émission des billets de banques doit toutefois rester règlementée, Ricardo était favorable à l'étalon or.
[...] La monnaie Bancaire ou scripturale. Certains économistes considèrent que le moyen-âge ne s'est pas développé en partie à cause du manque de monnaie. Le chèque bancaire Les banques qui ne pouvaient pas battre monnaie contournèrent rapidement cette entrave par le biais du bu chèque, d'abord entre clients de la même banque puis entre les même succursales et enfin entre toutes les banques. Le processus est indatable mais les formes scripturales ont devancées les formes fiduciaires. Paypal est-il à la limite d'une nouvelle forme de monnaie ? [...]
[...] L'émission des billets de banques doit toutefois rester règlementée, Ricardo était favorable à l'étalon or. NB : c'est nous qui décidons de la quantité de billets en circulation en retirant au distributeur. La banking school est d'avantage souple elle prône une libéralisation des émissions bancaires. Selon Stuart Mill. La vision est libéral, l'émission doit se faire de manière peut régulée et la demande déterminera l'offre. Il est à noter que les billets ne sont plus lié à des contreparties définitives mais bien souvent à des prêts. [...]
[...] La création monétaire est un flux temporaire. De plus l'inflation entrainera une perte de la valeur du billet ce qui contribuera à équilibrer la valeur de la masse monétaire, pareillement la déflation augmentera cette valeur. Les banquiers centraux sont orientés currency school alors que les économistes sont d'avantage banking school. En France les puissants sont plus modernes et s'oriente vers une approche banking Napoléon Bonaparte crée la banque de France à la capacité d'escompte illimitée, c'est une sorte de plans de relance de l'époque. [...]
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