monnaie, théorie quantitative, masse monétaire, développement économique, moyens de paiement
Ce lien, entre les moyens de paiement et les prix nominaux (prix exprimés en unités monétaires), est une constatation ancienne.
Ce lien a été noté dès l'antiquité. Mais la réflexion économique s'est saisie de ce problème après la très forte inflation au XVIème siècle en Europe.
Les théories économiques du mercantilisme visaient à engranger de l'or dans une Nation à partir d'un excédent commercial (vendre à l'étranger pour avoir une rentrée d'espèce monétaire). Les économistes pensaient que le développement économique était freiné par le manque de monnaie. Ils espéraient avec cet afflux monétaire contribuer à l'expansion.
[...] Cette exigence s'obtient sur le marché des capitaux. Sur le marché des capitaux on aura la part du revenu global non consommé. Une partie du revenu global alimente le marché de biens de consommation et l'autre le marché des capitaux (sous forme d'épargne). Le marché des capitaux a pour fonction de drainer l'épargne vers les investissements. L'épargne doit être égale à l'investissement. (égalité entre l'offre de capitaux et la demande de capitaux). Cette égalisation se fait par le biais du taux d'intérêt réel. [...]
[...] L'inflation se manifeste dans l'augmentation des prix nominaux. Pour étudier la sphère monétaire, le courrant classique utilise la théorie quantitative La théorie quantitative La théorie quantitative a traversé les siècles puisqu'on la retrouve actuellement dans le monétarisme. La théorie quantitative a été formalisée par Irwin Fisher (début du XXe siècle) sous la forme d'équilibre des échanges. Dans une première approche, il pose ce que l'on appelle l'équation quantitative. Cette équation est une égalité qui découle du bon sens. Si on regarde tout ce qui a été échangé dans une zone pendant une période, on peut faire la somme de toutes les valeurs des transactions (pi * xi). [...]
[...] La condition essentielle tient donc le fait qu'il n'y ait pas de fuite. Dans la sphère réelle, la notion de prix découle de l'analyse classique des coûts de production menée par Ricardo (début XIXe). Ricardo précise la notion de valeur en reliant la valeur des biens aux coûts de production, eux-mêmes fonction de la quantité de travail nécessaire pour produire le bien. Mais il y a aussi une composante liée à l'échange. Cette composante liée à l'échange est étudiée par Walras dans le schéma de l'équilibre général sur le marché des biens et services. [...]
[...] Le lien masse monétaire niveau général des prix Ce lien, entre les moyens de paiement et les prix nominaux (prix exprimés en unités monétaires), est une constatation ancienne. Une constatation ancienne Ce lien a été noté dès l'antiquité. Mais la réflexion économique s'est saisie de ce problème après la très forte inflation au XVIe siècle en Europe. Les théories économiques du mercantilisme visaient à engranger de l'or dans une Nation à partir d'un excédent commercial (vendre à l'étranger pour avoir une rentrée d'espèce monétaire). [...]
[...] Si tout le monde se met a acheté le même bien au même moment, cela va changer la production. La monnaie ne doit pas avoir d'influence sur la structure de la dépense, et donc sur la structure de la production. La structure de la production et de la dépense sont gouvernés par les préférences des agents. Ils affectent leur dépense en fonction de leurs goûts et de leurs préférences. Cette présentation pose un problème qui sera résolu par les études qui se situent à l'université de Cambridge. [...]
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