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La crise financière mondiale amorcée autour de juillet 2007, et encore d'actualité aujourd'hui est caractérisée par une crise de liquidité interbancaire et un « resserrement du crédit » (de l'anglais credit crunch). Avec de nombreux débats entre économistes et un peu de recul, les causes de son apparition on pu être plus ou moins identifié : elle trouverait son origine dans la politique monétaire trop accommodante de la Réserve fédérale américaine pendant les années 2000 (baisse du taux directeur jusqu'à 1%, après l'éclatement de la bulle internet en 2001-2000) et puis dans hausse en 2006 de ce même taux de 1 à 5%, pour répondre à des menaces d'inflation.
[...] Les banques et autres établissements financiers refusent donc de se prêter mutuellement de l'argent (c.-à-d. des liquidités). La raison est la perte de confiance : les autres établissements pourraient détenir des créances « contaminés », ou faire faillite, ce qui les empêcheraient de faire face à leurs engagements. Les établissements bancaires perdent alors un moteur de croissance, très rentable au cours des années précédente. Cette crise de liquidité bancaire à conduit les banques centrales à injecter des liquidités sur le marché interbancaire dans le but de permettre aux établissements de refinancer leur activité, et d'éviter l'éclatement d'une crise de tout le système. [...]
[...] Cela entraîne une détérioration de la demande sur le marché de l'immobilier, dans le même temps qu'une détérioration de l'offre (beaucoup de vendeurs ne peuvent se séparé de leur bien en raison de la faible demande). Malgré les mauvais résultats bancaires français, responsable de la situation immobilière difficile, il faut nuancer l'impact de la crise. « La solidité des banques françaises est telle qu'elles sont capables, dans un monde ou les prix de l'immobilier continuerait de baisser, d'encaisser. Les banques françaises sont en situation, malgré la crise actuelle, de gagner des milliards d'euro cumulés en 2008 ». C'est ainsi que résume la situation des banques Daniel Bouton, PDG de la Société Générale. [...]
[...] L'influence de la crise financière mondiale sur le système de crédit français. La crise financière mondiale amorcée autour de Juillet 2007, et encore d'actualité aujourd'hui est caractérisé par une crise de liquidité interbancaire et un « resserrement du crédit » (de l'anglais credit crunch). Avec de nombreux débats entre économistes et un peu de recul, les causes de son apparition on pu être plus ou moins identifié : elle trouverai son origine dans la politique monétaire trop accommodante de la Réserve Fédéral Américaine pendant les années 2000 (baisse du taux directeur jusqu'à après l'éclatement de la bulle internet en 2001-2000) et puis dans hausse en 2006 de ce même taux de 1 à pour répondre à des menaces d'inflation. [...]
[...] En cette période de crise financière internationale, « environnement de marché très défavorable » comme le souligne Baudoui Prot, directeur général de la banque BNP Paribas, le système de crédit français est touché à travers les pertes et les résultats bancaires en baisse. Cependant, on ne peut envisager des conséquences vraiment dévastatrices. Les banques, malgré les pertes auront des résultats cumulés de plusieurs milliards d'euros. Les politiques de communication des grandes banques ainsi que leurs stratégies auprès des consommateurs prouvent qu'elles ne sont pas alarmées et qu'elles ont les moyens de conquérir de nouveaux clients grâce aux crédits. [...]
[...] Cependant, quels en sont les effets sur le système de crédit ? Nous verrons dans une première partie les effets directs d'une crise internationale sur le système bancaire français, avec notamment les résultats à la baisse. Et par la suite, les résultats seront à nuancer étant donné la politique particulière des banques françaises. La crise financière affecte rapidement le marché interbancaire, à travers un « crise de liquidité ». En effet les professionnels du secteur bancaire échangent entre eux des actifs financiers (par exemple des créances) à court terme : sur ce marché les établissements en situation d'excédent de capitaux prêtent à ceux qui en manquent. [...]
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