La croissance économique a été pendant des siècles très lente et sur longue période. Ce n'est que depuis la fin du XVIIIe siècle, et la première Révolution industrielle, que l'essor des méthodes industrielles de production, comme le machinisme, et des modifications de structures (urbanisation, exode rural, etc.) ont permis une forte croissance économique (...)
[...] On utilise des agrégats économiques, et notamment le PIB ( Produit Intérieur Brut) ou le PNB (Produit National Brut), pour mesurer la croissance. Le PNB par habitants (ou revenue par tête) est un mauvais indicateur, car il ne tient pas compte de la répartition des revenus. Yun fort revenu par habitant peut cacher une très forte inégalité sociale. Les comparaisons internationales doivent être faites avec précaution : par exemple, les variation monétaires compliquent toutes analyses. Le PIB ou le PNB ne mesurent que ce qui est quantifiable, l'aspect qualitatif est totalement exclu de ces comptages. [...]
[...] D.LA REMISE EN CAUSE DE LA CROISSANCE ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE Si les conséquences positives de la croissance sont indéniables (progression du pouvoir d'achat, amélioration du niveau de vie et du genre de vie, solidarité sociale possible, ) plusieurs effets pervers posent le problème d'une remise en cause de la croissance ou du moins d'une certaines forme de croissance. IV.INDEX CROISSANCE : augmentation quantitative du produit physique d'un pays sur une longue période. AFTALION : une variation de la demande entraine une variation de l'investissement plus que proportionnelle. PROGRES : amélioration dans les valeurs reconnues par la société. DEVELOPPEMENT : changement des structures du pays. [...]
[...] L'investissement facilité assure la poursuite de la croissance. - Les charges sociales et fiscales sont mieux réparties. L'amélioration des infrastructures (transports, santé, éducation) est donc plus aisée ; - Jeune, cette population sera dynamique et tournée vers l'avenir, d'où une productivité forte, un effort de recherche er des investissements importants (théorie d'Alfred Sauvy) Une population qualitativement bonne favorisera la croissance, si elle est productive, dynamique, adaptable. Plusieurs éléments influencent cette qualité ; le climat, la région, la culture, l'état sanitaire, le niveau d'éducation. [...]
[...] L'investissement est probablement le facteur économique principal de la croissance. Rostow a montré qu'à chaque étapes l'investissement était nécessaire : du PIB dans des infrastructures pour réuni les conditions du démarrage économique dans des secteurs moteurs lors du décollage dans l'ensemble de l'économie pour permettre la maturité économique. Keynes avec son multiplicateur d'investissement montre d'un investissement initial entraine dans l'économie une distribution en cascade de revenus et d consommations, qui fait que la consommation finale est toujours supérieure à cet investissement initial. [...]
[...] La capacité des dirigeants à appréhender les problèmes économiques peut être déterminante. Les dépenses de prestige, les erreurs économiques graves de certains pays en développement le montrent bien. C.LES STRUCTURES D'ENCADREMENT Les syndicats peuvent avoir des comportements peu responsables et bloquer la croissance ou au contraire jouer le jeu d'une congestion. L'Etat peut avoir un comportement malthusien, c'est-à-dire en voulant trop protéger en arriver à bloquer tout progrès ou dynamisme, ou au contraire jouer son rôle d'orientateur, de stimulant des initiatives individuelles comme après 1945. [...]
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