Avec la révolution industrielle (au XXe siècle) et les « 30 Glorieuses » (1945-1975), la croissance économique s'est fortement accrue : le PIB mondial a été multiplié par 39 entre 1800 et 2000. Le développement s'est aussi amélioré : le taux d'alphabétisation est passé de 64 à 79% de 1970 à 2000. L'espérance de vie a augmenté de 6 ans durant la même période, et le PIB en PPA (Parité de Pouvoir d'Achat) est passé de 1300 $ à 2500 $ par personne (...)
[...] De plus, il est difficile de refuser l'accès au développement a une partie du monde. Il existe plusieurs solutions : - il faut faire appel à la technologie pour élaborer des techniques moins coûteuses. - Revenir à une production locale, pour échapper au gaspillage et diminuer les coûts de transport. - Favoriser les activités les moins coûteuses en énergie et ressources naturelles. Cependant, l'horizon du marché est à court terme, et les entreprises s'adressent d'abord à la demande solvable. L'environnement n'est qu'une donnée particulière sur le long terme qui dépend de la collectivité. [...]
[...] II) des transformations -Les gains de productivité ont entraînés le déclin progressif du secteur primaire. Il y a besoin de moins de travailleurs pour une plus grande quantité produite (grâce aux machines, la modernisation) ; -Le secteur tertiaire a connu des gains de productivité grâce à l'informatisation des services. De plus, la demande de services a fortement augmenté, en raison de la hausse du niveau de vie de la population. La croissance économique a entraîné le bouleversement du paysage social. [...]
[...] Enfin, la croissance économique a permis une ouverture sur le monde : aujourd'hui, un quart de la production française est exportée, et un quart de la consommation française est importée. On peut aussi rajouter les Investissements Directs à l'Etranger (IDE) qui ne sont pas comptabilisés. III) Les transformations qui tendent à se généraliser à l'échelle planétaire. Au cours du XXe siècle, les pays du Tiers-Monde ont connu les mêmes changements : -le phénomène d'urbanisation. L'urbanisation concernait 20% de la population mondiale au début du XXe siècle, maintenant elle concerne plus de 50%. [...]
[...] La Chine est un pays en développement ; elle est dans un processus de rattrapage économique. Quant aux ce sont un pays industrialisés, le plus fort économiquement avec un PIB par habitant d'environ 30 000$. Les inégalités se sont creusées depuis 1960. Les pays africains prennent une place de plus en plus importante dans les pays les 20% les plus pauvres ; elle a doublé depuis 1980, aujourd'hui d'environ 50% sur les 20%. II Le maintien des inégalités Aux les 20% les plus pauvres ont un IDH inférieur à celui de l'Argentine, tandis que les 20% les plus riches ont le PIB maximal. [...]
[...] Peut-être que les pays en voie de développement pourront trouver un mode de développement durable. A partir de 0,9 d'IDH, les progrès en matière de développement se font aux pris d'une forte empreinte écologique. Les E-U sont très loin du développement durable contrairement aux pauvres pays d'Afrique ou d'Asie. Au niveau international, le protocole de Kyoto en 1997, a tenté d'atténuer ce problème en prévoyant une baisse de des émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2012. [...]
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