Moins de quatre mois nous séparent de la fin de l'année 2008. Une année qui aurait été riche en événements aussi bien politiques que monétaires et économiques. En prime, l'année 2008 est une année de la hausse sans précédent des prix, en particulier du pétrole. Ces hausses des prix se sont généralisées à d'autres secteurs de production des biens et/ou services. Sur le plan monétaire, c'est aussi une année de l'appréciation des principales devises à travers le monde notamment l'euro pour ne citer que la zone euro (...)
[...] Les taux d'intérêt directeurs jusqu'à preuve du contraire sont estimés à jusqu'à fin premier trimestre 2009. La seconde intervention est la technique d'open market par laquelle elle devra jouer de tout son poids dans l'injection de la masse monétaire dan le processus de création ou de la destruction de la monnaie à créer. L'achat ou la vente de la monnaie centrale par la Fed est une composante de la politique monétaire applicable dans des cas pour lutter contre l'inflation dans une économie. [...]
[...] Les marchés monétaires : tempête ou crise financière ? Le désordre monétaire n'épargne aucune grande devise connue à ce jour : l'Euro, le Dollar américain et le Yen. Ce qu augure une concomitance d'une tempête financière à l'orée 2009. Ce mouvement oscillatoire des devises a pour conséquences la montée de l'inflation et la survenance de récession. Moins de quatre mois nous séparent de la fin de l'année 2008. Une année qui aurait été riche en événements aussi bien politiques que monétaires et économiques. [...]
[...] Ce sont notamment le ralentissement ou la réduction des exportations américaines. Car les produits made in USA étant devenus plus chers et non compétitifs face à leurs concurrents traditionnels : les produits chinois et européens. La baisse des exportations est par voie de conséquence un stimulus de la décroissance de l'industrie américaine. Toute chose égale par ailleurs, la contraction de la croissance entraîne également la réduction de la distribution des revenus salariaux et la réduction de la demande des biens et service par les consommateurs américains. [...]
[...] Quant à la zone Euromed, la probabilité d'une récession est montée à selon les estimations. Trop pessimistes qu'elles soient, elles prédisent que la BCE devrait revoir à la baisse les taux d'intérêt pour les ramener à des niveaux devant stimuler la demande de crédit en faveur du retour des mouvements plus prometteurs d'investissements. Enfin, la volatilité des cours des principales devises notamment l'Euro, le dollar américain et le Yen ne fera qu'aggraver la situation économique et financière de grandes économies mondiales secouées actuellement par la montée des prix du pétrole. [...]
[...] La dépréciation de l'euro est une bonne chose pour les industriels européens dont les entreprises exportent vers les Etats-Unis. Cela dope les exportions. Par conséquent, cette dépréciation favorise la rentrée des recettes d'exportation. L'appréciation inattendue du dollar américain de ces derniers jours traduit la montée du pessimisme et du manque de confiance des investisseurs dans la santé de la zone euro jumelée à la zone monétaire du Japon en l'occurrence le Yen autour de laquelle gravitent toutes les économies émergents du Sud-est asiatique. [...]
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