Crise économique, Grèce, Europe, plans d'aides, Papandréou, Union Européenne
En Grèce, des milliers de petites entreprises ferment chaque semaine au premier semestre 2012, conséquence directe de la crise économique profonde.
La Grèce compte 11 millions d'habitants, sa capitale est Athènes.
Jusqu'à 2011 son premier ministre fut Papandréou mais son gouvernement a dû céder sa place à une équipe de transition suite à une tentative avortée d'organiser un referendum sur le plan européen, sur la politique d'austérité. Lucas Papademos se retrouve premier ministre par intérim. Et enfin, à partir du 16 mai 2012, Panagiotis Pikramménos a pris ses fonctions.
La Grèce fait partie de l'Union Européenne depuis 1981 et de la zone euro depuis 2001. Et c'est le premier pays à plonger dans la crise de la dette souveraine. Elle vit ses pires années en temps de paix, elle est au bord de la sortie de l'UE, au bord de la faillite.
[...] La Grèce compte 11 millions d'habitants, sa capitale est Athènes. Jusqu'à 2011 son premier ministre fut Papandréou mais son gouvernement a dû céder sa place à une équipe de transition suite à une tentative avortée d'organiser un referendum sur le plan européen, sur la politique d'austérité. Lucas Papademos se retrouve premier ministre par intérim. Et enfin, à partir du 16 mai 2012, Panagiotis Pikramménos a pris ses fonctions. La Grèce fait partie de l'Union Européenne depuis 1981 et de la zone euro depuis 2001. [...]
[...] Il prévoit aussi le renforcement de la discipline budgétaire. Le 22 février un nouvel accord a été établi pour une aide s'élevant à 237 milliards d'euros. Le plan comprend d'une part un volet d'aide publique de 130 milliards d'euros, aides directes jusque fin 2014. Et d'autre part l'autre volet porte sur un effacement, une restructuration de la dette de la Grèce, par les créanciers privés, banques et fonds d'investissement. Cela doit permettre de réduire la dette du pays d'un montant de 107 milliards d'euros. [...]
[...] Les élections législatives du 6mais sont marquées par l'affaiblissement spectaculaire des grands partis Nea Demokratia et PASOK et une abstention records de 35% et la montée d'autres camps opposés à l'austérité avec la gauche radicale Syriza qui a fait 17%. Les échecs de négociation pour la formation d'un gouvernement entre ces divers partis à mener à une incertitude politique et économique, les grecs ont procédés à des retraits massifs d'argents de leurs banques. Une sortie de la Grèce de la zone euro ne serait-elle pas plus envisageable ? [...]
[...] La révélation en 2009 que l'ampleur des déficits et de la dette avaient été masquée n'envisageaient rien de bon. Il a multiplié par 2 l'estimation de déficit budgétaire la portant à du PIB. Ce fut l'un des pays à plus forte croissance au sein de la zone euro entre 2000 et 2007. Ceci s'explique notamment par des dépenses publiques généreuses, le maintien d'un secteur public surdimensionné qui représente 40% du PIB. La Grèce compte environ fonctionnaires sur une population active de 5 millions. [...]
[...] L'économie souterraine représente entre 20 et 30% du PIB, c'est le poids de l'économie souterraine. Cependant, le gouvernement n'a pas établi plus de discipline budgétaire, et maquille ses comptes depuis plus de 20ans. Depuis 2000, elle transgresse le Pacte Européen de Stabilité financière. II-Les plans d'aides pour la Grèce La Grèce a bénéficiée en mai 2010 d'un plan de sauvegarde de 110 milliards d'euros de prêts sur trois ans, en échange de mesures d'austérité pour réduire les déficits et la dette (environ 350 milliards d'euros). [...]
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