Le triomphe de la cupidité, Joseph E. Stiglitz, crise des subprimes, banques américaines, marché de l'immobilier américain
Origine : soif de plus en plus élevée des banques. Moins de règles depuis les 80's (libéralisation) = plus de liberté = produits à risques : ex. des crédits subprimes, destinés aux familles en difficulté pour l'accès à la propriété. Taux très faibles les 1ères années puis fortement progressifs. Avantage, en théorie : si les ménages se retrouvaient dans l'incapacité de rembourser, ils pouvaient vendre leur maison, marché de l'immobilier étant en constante hausse à l'époque.
Banques conscientes du risque : en cas de profit, seules bénéficiaires. Si catastrophe : sauvées et renflouées par l'État (aléa moral). Banques avaient toutes les raisons de ne pas vouloir être réglementées, tactique de la peur pour en dissuader l'État : si elles perdaient leur liberté => capitalisme s'effondrait.
[...] Le triomphe de la cupidité (2010), Joseph E. Stiglitz (économiste US, chef de file du néo-keynésianisme). Attendez vous à des retombées, à des saisies, à des horreurs ! Paul Welch, employé à la société de crédit California Mortgage : connaissance de l'aspect pourri des subprimes. Comment la crise est née ? Comment elle est devenue mondiale ? Origine : soif de + en + élevé des banques. Moins de règles depuis les 80's (libéralisation) = plus de liberté = produits à risques : ex des crédits subprimes, destinés aux familles en difficulté pour l'accès à la propriété. [...]
[...] Démantèlement pour mieux les gérer : solution pour Stiglitz. L'après crise et ses dangers selon Stiglitz Fin du monde du crédit facile aux EU baisse du niveau de vie des US selon lui. État doit être plus interventionniste et régulateur : limiter les risques d'aléa moral, d'asymétrie d'information et de concurrence déloyal. Croyance néoclassique des marchés parfaits doit cesser, la crise ayant suffisamment prouvé son invalidité Monde : hausse de la dette # besoin d'argent pour faire face au réchauffement climatique, retraite des baby-boomers . [...]
[...] Si catastrophe : sauvées et renflouées par l'État (aléa moral). Banques avaient toutes les raisons de ne pas vouloir être réglementées, tactique de la peur pour en dissuader l'État : si elles perdaient leur liberté capitalisme s'effondrait. Bulle éclata : + en + de maisons étaient saisies puis mises en vente à cause des non-remboursements : effondrement du prix de l'immobilier, vendre sa maison # remboursement du prêt. Nombreuses institutions financières privatisées (par exemple Fannie Mae). Autres coupables : agences de notation : Moody's, mauvais jugement des subprimes. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture