La prospérité du vice, Daniel Cohen, Grande crise, mondialisation, krach écologique, capitalisme immatériel
La révolution néolithique c'est-à-dire l'invention puis la propagation de l'agriculture marque un nouveau cadre de vie. En effet, on passe de la chasse et la cueillette à la culture de la terre et l'élevage de troupeaux. Cela permet l'augmentation des populations puisque l'on peut nourrir plus d'hommes. De nouvelles civilisations apparaissent.
La civilisation gréco-romaine fut le foyer de l'Occident chrétien en développant de nombreuses techniques, mais privilégie la vie sociale (politique, écriture) provoquant un ralentissement technologique. De plus, la diminution de nombre d'esclaves à la fin du IIe siècle entraînera le déclin de l'Empire romain.
[...] VII) La Grande crise et ses leçons La crise de 1929 fut la pire pour le capitalisme mondial. Aux Etats-unis les années 20 furent une période prospère. Entre 1926 et 1929 les spéculations à Wall Street sont très nombreuses. Mais le Jeudi 24 Octobre (jeudi noir) le nombre de titres vendus triple. Le mardi suivant ce sont 16 millions de titres qui sont échangés, ceci provoque une chute foudroyante des cours. En trois ans, Wall Street perdra 85% du niveau atteint en 1929. [...]
[...] L'industrialisation fait peser une menace sur la planète. Un pb se pose alors entre l'offre et la demande de ressources naturelles. La demande étant amplement supérieure à l'offre. La richesse devra passer de milliards de dollars en 2005 à milliards en 2050. De multiples pbs se posent donc. S'ajoute le problème du réchauffement climatique lié à l'émission de gaz à effet de serre de plus en plus considérable. Il se traduit par des canicules, la baisse du niveau de la mer, la destruction d'espèces. [...]
[...] La production industrielle sera divisée par 2. La chute de la conso de biens durables des ménages sera un facteur important de cette récession sans précédent aux car elle enclenche un cercle vicieux en matière de débouchés. Mais selon Friedman, la crise est plutôt d'origine bancaire. La vérité est entre les deux, ça commence avec une crise de la demande de la conso, et ça se propage avec la finance, cette crise bancaire aurait pu être enrayé plus tôt par les autorités monétaires. [...]
[...] La Chine est aujourd'hui est le 3ème exportateur mondial. Le développement de l'Inde fut au contraire autocentré. Le carcan administratif (licence-raj) imposé après l'indépendance, a entravé les échanges et fermer le pays à l'international. Le pays s'ouvre à partir de 1980, avec attraction des Inv étrangers, baisse de la roupie, et baisse des tarifs douaniers. Ce pays fut en outre miné par les inégalités basées sur les castes, même si mise en place de discriminations positives. XII) La fin de l'histoire et l'Occident La disparition de l'URSS en 1991 marque un tournant dans l'économie mondiale. [...]
[...] Il faut une nouvelle manière de penser la > éco. Diamond, rappele que Sumer ou les Mayas ont disparu suite à une mauvaise gestion écologique. XIV) Le krach financier Dans les années 70, avec notamment le choc pétrolier, il y a un ralentissement de la croissance éco, et l'apparition de la stagflation (inflation et chômage). Les gouvernements ne font que relancer par la conso, mais c'est inutile, illustration de l'inefficacité du keynésiannisme. Friedman et les pro monétaristes prônent un retrait de l'Etat, une révolution libérale s'opère. [...]
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