Résumé des chapitres 4 et 5 de La démocratie et le marché ainsi que de sa conclusion. Il traite de la démocratie dans les sociétés contemporaines.
[...] En effet celons-lui cela creuse et renforce les inégalités sociales, car les choix des politiques ne sont pas vraiment réfléchies mais plutôt appliqués Bêtement ».Il ne critique pas complètement le capitalisme, mais plutôt le capitalisme égoïste que recherche le profit avant toute choses. Il faudrait celons lui, préférer la démocratie pour pouvoir redonner avant tout une vigueur qu'elle a perdu avec la mondialisation. Vocabulaire Jacques Rueff : (23 août 1896 à Paris - 23 avril 1978), haut fonctionnaire et économiste libéral français. Consubstantiel : De la même substance, de la même nature. [...]
[...] L'auteur pense que la mondialisation réduit les inégalités sur le marché, mais que cela réduit la démocratie.il appel cela l'impuissance politique, car les politiques d'un pays ne peuvent en aucun cas contrer cette baisse de la démocratie à cause de la mondialisation. Ainsi il indique cela comme une conséquence de la mondialisation. Il faut donc choisir : privilégier la démocratie et perdre du profit ou alors l'inverse ? Dans le marché des sommes parfois tellement importante qu'elles en deviennent fictives, sont joués. [...]
[...] Pour expliquer la mondialisation Fitoussi utilise une petite histoire qui fait intervenir des pays riches et des pays en voie de développement. Ainsi les pays riches enseignent aux pauvres comment s'enrichir. Ces derniers appliquent ce qui a été enseigné et après le passage à la globalisation ces pays se retrouvent avec beaucoup de précarité. Les pays riches disent que c'est normal s'ils veulent s'enrichir, mais Fitoussi trouve cela injuste lorsque l'on est en démocratie. Le principe de la globalisation pour Fitoussi est un système injuste et individualiste, car personne ne veut payer pour des dépenses publiques. [...]
[...] Neveu Philippe Jean-Paul Fitoussi La Démocratie et le marché La diversité des formes institutionnelles de la démocratie de marché L'auteur rappelle dans un premier temps ce qu'il soutient lorsqu'il a parlé dans les chapitres précédent de l'économie de marché. En effet il dit que cela permet de créer des richesses car il rassure les individus et encourage le plein emploi ainsi il trouve que c'est une forme d'équité et donc que l'état ne devrait en aucun cas y intervenir. Pour démontrer son idée, l'auteur se base sur un article de l'économiste Jacques Rueff qui montre que le chômage anglais dans les années 30 était du à l'intervention du gouvernement. [...]
[...] Ainsi les pays en phase de développement n'ont pas les mêmes priorités que nous. Ainsi lorsque nous leur avons apportés la démocratie ainsi que la mondialisation, cela ne pouvais pas fonctionner de façons optimum car cela n'avait pas la même incidence chez nous que chez eux. Ainsi la mondialisation leur a apporté des contraintes, mais l'instabilité politique était très importante donc cela était facile de contrer la politique d'un pays et par la même occasion la politique économique ce qui ne pouvait pas les faire avancer sur le même chemin que nous. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture