Etat des lieux en Afrique en 2014, situation économique, transformation environnementale, enjeux sociétaux, perspectives d'ici 2025, rapport des Nations unies, PIB 2014, instabilité politique africaine, croissance économique, emploi en Afrique, cours des matières premières, corruption, ressources naturelles, changement climatique, migration
Malgré le contexte économique mondial difficile, les chiffres annoncent pour l'Afrique des avancées structurelles non négligeables sur plusieurs plans. En effet, l'Afrique, d'après le rapport des Nations unies, présentera un taux de croissance du PIB de 5% en 2015. Ce qui nous amène à nous interroger afin de savoir quelle croissance et quels emplois pour l'Afrique de demain ? Quels sont les défis environnementaux ? Quel est l'impact social de cette évolution soutenue ? Dans les lignes qui suivent, il sera question de faire le point de la situation actuelle de l'Afrique de 2014 en premier lieu, mais aussi de présenter en second lieu des perspectives pour l'Afrique de 2025.
D'après le rapport des Nations unies, une croissance du produit intérieur brut (PIB) est estimée à 4% en 2013, les prévisions indiquent une accélération de la croissance économique en Afrique, qui atteindrait 4.7% en 2014 et 5% en 2015. On s'attendrait à une légère diminution de l'inflation, qui passerait d'une moyenne de 8% en 2013, à 7.8% en 2014. Le déficit budgétaire moyen de l'Afrique s'est accru, passant de 1.35% en 2012 à 1.8% du PIB en 2013. Le déficit global de la balance courante en Afrique diminuera sans doute légèrement, passant de 1.8% du PIB en 2013 à 1.7% en 2014.
[...] Il faut obliger les grandes entreprises à travailler un tant soit peu avec les petites entreprises pour que celles- ci puissent acquérir de l'expérience et postuler aux grands marchés. Le manque d'infrastructure en Afrique Il faut plus d'infrastructure routière pour permettre un développement de l'économie. Il est à noter que les infrastructures routières se dégradent assez rapidement dans certains pays de l'Afrique, ce qui constitue une perte dans l'économie. Le ralentissement de l'économie mondiale Le ralentissement de l'économie mondiale affecte directement l'économie africaine. Il faudra assoir une politique pour rendre l'économie africaine indépendante de l'économie mondiale par la création de monnaie africaine. [...]
[...] Il faut établir les conditions générales de la transformation structurelle en investissant dans l'éducation, les infrastructures et l'accès à des marchés régionaux suffisamment larges ; établir les conditions spécifiques requises pour le développement des secteurs d'activité liés aux ressources naturelles ; optimiser les revenus des ressources naturelles et les investir de façon stratégique pour promouvoir la transformation structurelle ; promouvoir directement la transformation structurelle en augmentant la productivité agricole et en facilitant les liens entre le secteur des ressources naturelles et l'économie dans son ensemble. III) Transformations sociales A. Situation sociale africaine Tout porte à croire que l'Afrique serait en train de devenir la prochaine région émergente du monde. Mais cette forte croissance s'est accompagnée de transformations sociales profondes marquées par un creusement des inégalités. Un développement du continent africain passe par la capacité des états à régler la conflictualité sociale qui résulte de l'aggravation des conditions de vie des populations les plus pauvres, une tolérance des échecs sociale et une urbanisation incohérente. [...]
[...] La corruption Une bonne gouvernance permet d'éradiquer la corruption. Il faut créer des structures pour surveiller les administrations publiques et privées, et surtout être strict. Il est à noter que la corruption persiste dans certains gouvernements. Il faudra juger les gens selon leur compétence et non selon leur relation sociale. L'organisation En Afrique il faut surtout une bonne organisation économique. Tout doit être structuré si nous voulons une bonne croissance de l'économie. Il va falloir une forte corrélation entre les États sur le plan économique. [...]
[...] Et nous remarquons un sérieux problème d'identité, car il faut le dire : certains Africains se pressent d'aller en Occident et s'y sentent chez eux, au lieu de rester construire leur continent. Ils aspirent à avoir la nationalité étrangère. B. Perspectives Sur le plan social Il faut arriver à gérer les conflits sociaux en intégrants des règles qui devront être respectées scrupuleusement. Il faut aussi conscientiser les familles, c'est-à-dire les responsabiliser (chaque parent qui met au monde son enfant doit s'assurer de sa réussite sociale). [...]
[...] Conclusion Il faut une approche collective si nous voulons une meilleure Afrique en 2025. Créer les États-Unis d'Afrique tout en cultivant une mentalité de développement et d'amour du continent africain en serait la solution à plusieurs problèmes. Concevoir l'Afrique sur un modèle occidental avec des valeurs traditionnelles. D'après le livre intitulé pourquoi l'Afrique pleure et s'enfonce de ROLAND AHOUELETE YAOVI HOLOU, pour Senghor la mise en œuvre de cette politique de développement implique l'assimilation des vertus euraméricaines du penser, de l'esprit d'organisation et de méthode, en complément des vertus de la négritude auxquelles on ne devrait pas cesser de se ressourcer Ainsi selon ce Sénégalais, il n'y a pas d'incompatibilité, mais plutôt complémentarité, entre la rationalité scientifique et la mentalité traditionnelle, et on peut promouvoir le développement c'est-à-dire la modernisation, tout en continuant de cultiver cette mentalité. [...]
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