Pour soutenir ces micro-entreprises et Pme et éviter leur disparition dans un environnement plus concurrentiel, nous définissons les actions prioritaires et urgentes à mener auprès de ces entreprises, notamment dans les domaines suivants :
- L'emploi, la formation et les salaires
- Les conditions technico-économiques de production
- La perception de l'environnement et du marché
(...)
[...] In this article we ask how the tumult of economic change is likely to affect the micro-companies and the small and medium-sized compagnies (Sme) of Tunisia. These compagnies that can no longer count on the support and protection of the state. We also question the capacity of these compagnies to resist the competition of the great multinational groups. To support these compagnies, to prevent their disppearance in an increasingly competitive environment, we propose urgent actions in the following aréas : Employment, training and wages ; Technical and economic conditions of production ; the perception by the compagnies of their environment and markets. [...]
[...] et les petites Pme tunisiennes et les secteurs clefs de l'économie nationale (secteur privé moderne et structuré des grandes entreprises, secteur public, secteur bancaire, secteur de l'exportation). II 5 les conditions technico-économiques de production : l'équipement, les méthodes de gestion et le rapport avec le système bancaires. Des équipements vétustes, obsolètes et inadaptés. Dans la plupart des secteurs et quelle que soit la taille des entreprises, on relève des aspects d'archaïsme, d'obsolescence et de vétusté des équipements et du matériel utilisés. [...]
[...] III l'ajustement structurel de l'appareil productif et Le défi de la mise à niveau des entreprises. III 1 La mise à niveau des entreprises : une nécessité perçue. Durant les trois dernières décennies, les entreprises tunisiennes ont bénéficié d'une forte protection (limitation des importations, homologation des prix, etc.). mais bien qu'ayant largement contribué au développement économique, elles restent cependant caractérisées par de nombreuses faiblesses structurelles ainsi que par des déficiences organisationnelles (insuffisance de l'infrastructure institutionnelle, tissu industriel dominé par les PME, relation inter-industrielles très réduites, taux d'intégration et d'encadrement très faibles, forte dépendance technique, équipement souvent vétuste ou obsolète. [...]
[...] Ces derniers sont à leur tour sommés de restaurer un minimum de rigueur et de discipline économique et financière leur permettant d'équilibrer leurs comptes et d'accélérer leur intégration au marché mondial. Dans le cas de la Tunisie, ce programme d'ajustement structurel a été marqué par un désengagement progressif de l'Etat de la vie économique et par une accélération de la privatisation des entreprises publiques. Ces mouvements avaient pour objectifs une libéralisation des initiatives privées, des prix et des marchés et visaient à assurer la flexibilité de l'emploi et des salaires en vue d'obtenir une meilleure compétitivité de l'économie tunisienne[1]. [...]
[...] Cette coopération se veut durable, plus intense, fondée sur la réciprocité, le co-développement et le partenariat. Elle vise plus particulièrement, la libéralisation progressive des échanges de biens, de services et de capitaux, mais aussi l'intensification des relations économiques, financières et techniques. Cette nouvelle orientation de la politique économique tunisienne qui a aussitôt été confirmée par la signature dès 1995 de l'accord de zone de libre-échange avec l'Union Européenne, oblige à recentrer le débat sur l'efficience et sur l'obligation d'un redoublement d'effort pour hisser la compétitivité de l'économie et des entreprises Tunisiennes à des niveaux toujours supérieurs, pour lui permettre de répondre efficacement à la rude concurrence qui caractérise désormais les marchés. [...]
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