La Bolivie, anciennement appelée le Haut-Pérou a été conquise par Francisco Pizarro. Durant, cette période, le pays a été rattaché au Pérou, puis, à Buenos Aires (Argentine).
Suite à la colonisation espagnole, des villes comme La Paz ont émergé. La Bolivie a été colonisée notamment à cause de ses richesses naturelles comme les mines d'argent. Lors de cette colonisation, la population est soumise à la christianisation.
Durant la colonisation, les Espagnols ont exploité les richesses de la Bolivie et ont bafoué les droits de l'homme des Boliviens, les rendant esclaves des Espagnols.
La Bolivie décida alors de révolter contre l'Espagne. Le général De Sucre et Bolivar ont joués un rôle essentiel dans l'indépendance de ce pays, qui s'est établie le 6 août 1825.
[...] Le déficit de financement, soit 0,9 milliard de dollars, pourrait être couvert par le secteur privé (en investissant, par exemple, dans des concessions routières) ou par une hausse des recettes fiscales due à une meilleure administration de l'impôt. Au total, l'investissement public passerait de du PIB aujourd'hui à d'ici 2006. Conclusion Pour résumer, nous avons pu constater que la Bolivie a connu plusieurs crises et instabilités politiques, successions de dirigeants. Leurs effets ont directement touché la situation économique et sociale du pays (l'exemple du changement de pouvoir et la situation économique des années 80 sont flagrants). [...]
[...] On enregistre une moyenne annuelle de -2,1. C'est en 2006 qu'on enregistre le point culminant et c'est en 1998 qu'on enregistre le plus bas niveau Définition : La balance commerciale des biens et services retrace la différence entre les exportations de biens et services et les importations de biens et services, exprimée en pourcentage du PIB. Une balance positive indique que les exportations dépassent en valeur les importations (excédent commercial). Une balance négative indique au contraire que les importations dépassent en valeur les exportations (déficit commercial). [...]
[...] Elle devient alors instable politiquement, socialement, culturellement. La Bolivie est acceptée aux Nations Unies le 14 novembre 1945. De 1950 à 2005 L'instabilité sociale règne encore, si bien que le gouvernement de Paz Estenssoro a voulu réformer économiquement et socialement la Bolivie. Il s'agissait surtout de nationaliser des compagnies minières, car c'est la principale ressource naturelle du pays. Suite à un coup d'État en 1964, puis à la remise en cause du mouvement révolutionnaire d'Ernesto « Che » Guevara en 1967 ; Hugo Banzer Suárez prit le pouvoir grâce à l'aide de l'armée. [...]
[...] Comme on l'a vu, le trafic de cocaïne est présent en Bolivie sachant que le trafic de drogues font partie de l'économie souterraine cela représente une perte importante pour la Bolivie. Cependant malgré ces problèmes on constate que la corruption est faible puisque sur le graphique qui suit, la moyenne de l'indice de corruption est de 2,5 (va de 0 à 10) comparativement à la France qui est de 6,8 (toujours selon le site perspectif monde). III) Niveau de développement L'IDH complété d'autres indicateurs L'indicateur le plus utilisé étant l'IDH (indice synthétique), nous allons centrer notre analyse sur cet indicateur regroupant plusieurs domaines, puis nous compléterons notre étude en recherchant d'autres indicateurs permettant de préciser le niveau de développement de ce pays. [...]
[...] En conséquence de quoi la Bolivie a du mal à converger les pays développés ? Néanmoins, les inégalités sont présentes dans ce pays (évalué grâce à plusieurs indicateurs) et son niveau de développement se situe en dessous de la moyenne mondiale (108ème). C'est pourquoi le gouvernement bolivien a mis en place un programme pour lutter contre les inégalités et favoriser le développement notamment. Mais étant donné sa récente mise en place (2001), on ne peut pas encore savoir si ce sera une réussite ou un échec. [...]
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