Globalement, l'économie mondiale est en croissance. La population qui vit à la surface du globe augmente. La production des biens et des services et, par suite, le volume des échanges s'élève. Mais cette croissance est fortement contrastée.
Des déséquilibres profonds et durables affectent l'économie mondiale. Ils se traduisent par des intégrités de développement considérables entre les pays.
La fortune des trois hommes les plus riches de la planète dépasse le PIB cumulé des 48 pays les plus pauvres et de leurs 600 millions d'habitants, affirmaient les nations unies. L'homme le plus riche du monde, Bill Gates, patron de Microsoft, pèse à lui seul autant que ces pays « Les moins avancés ».Le fossé entre le nord et le sud continue de se creuser de façon vertigineuse. Cet écart croissant entre les pays riches et les pays pauvres a fait naître le sous développement (...)
[...] Selon les spécialistes, le développement ne se réalise qu'en libéralisant, déréglementant et privatisant les économies non viables. Donc, pour rejoindre l'Eldorado du développement, il faut travailler dur en essayant de bouleverser les structures traditionnelles des pays sous développés c à d mettre en œuvre des stratégies qui efficace qui préconisent le développement industriel de ces pays. Partie : 4 la déprédation mondiale : le faux libéralisme : A l'orée du 3éme millénaire de notre ère, il faut souligner que n'est pas le changement des systèmes ou structures économiques, le développement se réaliserait. [...]
[...] Energie : Au niveau de l'énergie on peut constater que: Plusieurs pays ne peuvent plus atteindre la sécurité énergétique donc ils sont considérés comme des pays nom viable. sur le long terme le prix de pétrole aura tendance à monter peu à peu à cause de la demande mondiale croissante et son extraction qui sera plus coûteuse. il est à signaler aussi que si une faible consommation d'hydrocarbures par habitant mène à la nom viabilité économique, une consommation élevée de la part de tous les pays de la planète mènent pratiquement à la nom viabilité écologique de la civilisation tout entière, donc il est possible de voir l'influence de l'environnement bientôt sur le destin sociopolitique nom seulement des pays mais aussi de l'humanité tout entière. [...]
[...] Les pays sous développés n'ont d'autre choix que de chercher les investissements transnationaux productifs pour combattre le chômage. Les transnationaux s'intéressent uniquement à réaliser les bénéfices les plus élevés, elles exercent une influence politique et industrielle pour obtenir la diplomatie économique des pays industrialisés. C'est ainsi, les grandes transnationales ont transformé le fonds monétaire internationale (FMI) en une agence de recouvrement de la dette extérieure et elles ont obtenu que (GATT) serve à ouvrir tous les marchés nationaux. Cependant, rien ne concerne le pouvoir mondial de la nouvelle aristocratie transnationale et n'illustre plus le rôle des grandes puissances industrialisées que le projet d'accord multinational sur l'investissement (AMI) négocié à l'organisation de coopération et de développement économique (OCDE) qui a été rejeté de la résistance de la France et des pressions de la société civile. [...]
[...] -Le taux d'investissement s'élève à 20% et plus. -La société adapte ses institutions et ses valeurs à la croissance qui devient une finalité qui subordonne toutes les autres. la société de consommation de masse : Les besoins fondamentaux sont satisfaits (vêtements, logement . La composition de la main-d'oeuvre change; le secteur des services se développe. Le secteur géré par l'Etat-providence se développe: Affectant une part croissante des ressources à la prévoyance et à la sécurité sociale. Les limites de cette analyse : Rostow tente d'appliquer à tous les temps et à tous les pays la même succession de phases historiques homogènes; or l'évolution d'une société est un phénomène beaucoup plus complexe qui résulte de l'interaction de plusieurs facteurs. [...]
[...] En 2015 la production agricole devra avoir augmenté de 75% afin de nourrir presque 8 milliards de bouches. Les aliments deviendront de véritables ressources stratégiques, ils seront plus rares et chers. Donc tout pays dépourvu de sécurité alimentaire pourra difficilement demeurer un Etat souverain car il sera à la merci des pressions extrêmes des pays donateurs, devenant une sorte de mendicité (Etat mendiant) L'eau : Il deviendra plus rare et difficile d'accès sur la planète (97%de tout l'eau sur la planète est salée est douce, les trois quart de celle-ci se trouvant dans des endroits inaccessibles : région polaire, les glaciers Aujourd'hui les pays qui ont un niveau de consommation d'eau par habitant le plus faible au monde et un taux de croissance de la population élevé comme Pérou, Kenya, Maroc Jordanie doivent avoir comme objet stratégique de survie d'assurer leur sécurité hydrique. [...]
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