innovations technologiques, technologies, croissance économique, croissance
Dans certains pays dans le monde, la croissance voit le jour à l'aide de la quantité de travail fourni. Soit il faut plus travailler, soit il est requis d'avoir plus d'hommes. En Espagne, c'est le premier cas. La contribution du travail à la croissance représente un chiffre important par rapport au PIB obtenu par an en moyenne entre 1993 et 2003. Soit c'est la qualité du travail qui est mise en jeu. Ainsi, un individu mieux formé pourra être plus productif puisqu'il aura des acquis qui lui permettront d'avancer plus vite, comparé à un débutant. Le cas de la Chine peut être cité comme exemple avec ses réformes dont les autorités misent à améliorer le niveau de qualification de ces jeunes. C'est ce qu'on appelle des investissements immatériels, liés à l'Homme.
[...] Le facteur travail est d'ailleurs très faible On parle ici de croissance extensive. Avec cette comparaison, nous observons bien que le taux de croissance annuel moyen du PIB en pourcentage est très proche pour les deux pays, leur croissance respective est différentes la vue des trois facteurs Depuis deux décennies, le PIB chinois est établi à par an en moyenne, nous apprend l'OCDE. Cette forte croissance économique s'explique par plusieurs facteurs, les réformes qui ont grandement servi. Grâce à elles, la mobilisation des ressources générées par un taux d'épargne à succès a permis de relever le niveau d'équipement par travailleur à l'aide des investissements. [...]
[...] Alors que certains sont proches, d'autres sont complètement à l'opposé (en restant à une échelle faible). Ce taux en question dépend de plusieurs facteurs, facteur du travail et facteur du capital. À titre d'exemple, l'Espagne voit ces deux facteurs très proches contrairement au Royaume-Uni, notamment. Concernant le facteur résiduel, ce troisième facteur a-t-il son rôle à jouer (cf. question ? Après avoir évoqué ces facteurs, nous montrerons que les deux premiers facteurs cités ne suffisent pas à l'expliquer. I. Le travail et le capital participent à la croissance économique 1. [...]
[...] Connue pour sa main d'œuvre faible comparée à d'autres pays, elle fabrique et exporte ses confections tout autour de la planète. Enfin, avec ces nouveaux marchés, des nouvelles débouchées vont débarquer, telles de nouvelles entreprises. Conclusion Au final, toute cette croissance présente dans chaque pays ne peut pas être due qu'à la quantité de travail suivi du facteur du capital. C'est grâce aux avancées technologiques que la croissance voit son plus beau jour. De plus, à tel point que la société mondiale soit concernée, les États ont un rôle à jouer afin de ne pas tout faire échouer. [...]
[...] Le facteur travail peut contribuer à la croissance Dans certains pays dans le monde, la croissance voit le jour à l'aide de la quantité de travail fourni. Soit il faut plus travailler, soit il est requis d'avoir plus d'hommes. En Espagne, c'est le premier cas. La contribution du travail à la croissance représente un chiffre important par rapport au PIB obtenu par an en moyenne entre 1993 et 2003. Soit c'est la qualité du travail qui est mise en jeu. [...]
[...] Les innovations technologiques et la croissance économique Travail préparatoire : 1. D'après l'Office Fédéral de la Statistique suisse, entre 1993 et 2003, en France, le PIB augmente de par an en moyenne. Dans ces point aide le PIB a augmenté, soit un tiers du taux de croissance annuel moyen du PIB Le facteur résiduel correspond indirectement au progrès technique. Ce dernier correspond à l'ensemble des améliorations apportées dans le monde du travail, aussi bien au niveau de la production que les produits eux-mêmes. [...]
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