Commerce international, Chine, Coface
La note pays (@rating) indique dans quelle mesure un engagement financier d'une entreprise est influencé par les perspectives économiques, financières et politiques du pays concerné.
Ces notes s'appuient sur la triple expertise développée par Coface :
1. expertise macroéconomique en matière d'appréciation des risques pays
2. expertise sur l'environnement des affaires ;
3. expertise microéconomique à travers 50 ans d'expérience en matière de paiement.
Les notations pays @rating Coface sur 165 pays sont accessibles et mises à jour régulièrement sur ce site. Leur consultation est en libre accès.
Les opérateurs du commerce international savent qu'il peut y avoir de bonnes entreprises dans de mauvais pays, et de mauvaises entreprises dans de bons pays ; et que le risque global est fonction tout à la fois des spécificités de l'entreprise, et de celles du pays dans lequel elle opère. La notation pays @rating complète donc tout naturellement la notation entreprise @rating, en permettant de mieux apprécier globalement le risque d'une opération.
[...] expertise microéconomique à travers 50 ans d'expérience en matière de paiement. Les notations pays @rating Coface sur 165 pays sont accessibles et mises à jour régulièrement sur ce site. Leur consultation est en libre accès. Les opérateurs du commerce international savent qu'il peut y avoir de bonnes entreprises dans de mauvais pays, et de mauvaises entreprises dans de bons pays ; et que le risque global est fonction tout à la fois des spécificités de l'entreprise, et de celles du pays dans lequel elle opère. [...]
[...] Leur consultation est en libre accès. La note pays @rating attribuée par Coface mesure le niveau moyen de risque d'impayé à court terme présenté par les entreprises d'un pays. Elle indique dans quelle mesure un engagement financier d'une entreprise est influencé par les perspectives économiques, financières et politiques du pays concerné. Cependant, les opérateurs du commerce international savent qu'il peut y avoir de bonnes entreprises dans de mauvais pays, et de mauvaises entreprises dans de bons pays ; et que le risque global est fonction tout à la fois des spécificités de l'entreprise, et de celles du pays dans lequel elle opère. [...]
[...] Note Coface Population : 1,3 Milliard PIB : Note @rating pays : A3 Note environnement des affaires : B Estimations Prévisions POINTS FORTS Comptes extérieurs bénéficiant de la compétitivité et de la diversification industrielle Risque de surendettement externe limité grâce au niveau élevé des réserves de change et au maintien d'un compte courant excédentaire Risque souverain contenu : dette publique largement domestique et libellée en monnaie locale Montée en gamme progressive Développement des infrastructures, encouragé par le plan de relance Taux d'épargne des entreprises très élevé et finançant la majeure partie de l'investissement Montée en puissance de la Chine sur la scène internationale POINTS FAIBLES Tensions sociales croissantes liées à la montée des inégalités Surcapacités dans l'industrie et le commerce Banques chinoises fragiles, compte tenu du dynamisme du crédit et des incertitudes quant au niveau des créances douteuses Problèmes environnementaux APPRECIATION DU RISQUE Croissance vive et stable La croissance chinoise a rebondi dès le deuxième trimestre 2009, portée par la très forte croissance du crédit par la stabilisation du yuan et par le large plan de relance. Elle a atteint un pic au premier trimestre 2010 Néanmoins, face aux risques de bulle immobilière et de hausse des créances douteuses, un resserrement des politiques économiques a été engagé. Pour limiter la croissance du crédit, la Banque centrale a relevé le ratio de réserves obligatoires des banques et les taux d'intérêt et a réinstauré un contrôle quantitatif du crédit. [...]
[...] Néanmoins, l'appréciation du yuan a été très contenue. Malgré ces mesures, la croissance chinoise est restée élevée. L'industrie lourde a certes pâti du ralentissement des projets d'infrastructure et immobilier. Toutefois, l'industrie légère est restée solide, tirée par le dynamisme de la demande interne, par la reprise des exportations et par les incitations fiscales pour l'achat de voitures ou d'électroménager. En 2011, la croissance pourrait légèrement ralentir en raison de la poursuite du durcissement des politiques économiques. Même si l'investissement public notamment des collectivités locales devrait continuer de décélérer, l'investissement des entreprises privées restera dynamique, puisque largement autofinancé. [...]
[...] Des fragilités persistantes au niveau des entreprises, des banques et des collectivités locales La vulnérabilité des entreprises reste cependant à surveiller. Les entreprises fragiles, qui ont bénéficié d'un large soutien public pendant la crise, redeviendront non viables lorsque l'Etat retirera ses mesures d'aide. En outre, les autorités poursuivent une stratégie d'assainissement du tissu industriel et de montée en gamme, qui génère et continuera à engendrer des défaillances d'entreprises fragiles, notamment dans les secteurs à faible valeur ajoutée (textile, chaussure, jouet) et ceux en surcapacités (automobile, construction, sidérurgie). [...]
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