Karl Marx estimait que « le prix du marché n'est pas fixé par la simple loi de l'offre et de la demande, mais par le prix du travail ». Le prix de marché a toujours été un élément central de tous les grands courants économique. De nos jours, nous sommes bien loin des assomptions du courant marxiste, la réalité est que la « main invisible » régit l'économie mondiale. Le parcours de la théorie de l'autorégulation des marchés prôné par Adam Smith a été jalonné de crises, rappelons-nous du jeudi noir de 1929, de la crise pétrolière des années 70, et plus récemment en 2008 de la crise financière.
Le marché est le lieu de rencontre, fictif ou réel, de l'offre et de la demande pour un bien ou un service donné. Différents biens et services sont échangés sur les différents marchés, ainsi on compte trois marchés différents le marché des biens et services, le marché du travail et le marché des capitaux. Par définition la fixation des prix découle des échanges des biens et services entre les différents agents économiques sur des marchés. Ce prix est ensuite imposé aux entreprises en situation de concurrence.
Quels sont les différents courants qui analysent les mécanismes du marché ainsi que ceux des différents mécanismes de politiques de prix ? Quels sont les déterminants et les acteurs de la fluctuation des prix dans les différents marchés mondiaux ? Quelles sont les différentes politiques de prix adoptées par les entreprises ?
[...] Quels sont les déterminants et les acteurs de la fluctuation des prix dans les différents marchés mondiaux ? Quelles sont les différentes politiques de prix adoptées par les entreprises ? Notre discussion se concentrera premièrement sur les différents courants existants, puis sur les déterminants et les acteurs de la fluctuation des prix dans les différents marchés mondiaux. Enfin nous analyserons les différentes politiques des entreprises en ce qui concerne leurs prix. La loi de l'offre et de la demande est la variation de l'offre et de la demande en fonction du prix. [...]
[...] Enfin nous présenterons l'approche Keynésienne. Tout d'abord l'analyse de celui qui est considéré comme le «père de la science économique moderne ; Adam Smith. La pensée de Smith est basée sur une absence d'intervention de l'Etat sur les marchés qui ne doit assurer que des fonctions dites régaliennes ; ces dernières étant la sécurité et la défense du territoire, l'assurance de l'ordre public, la définition des lois et leur application. La dernière fonction que Smith attribue à l'Etat n'est pas dépourvue d'un certain interventionnisme : Le troisième et dernier devoir du souverain est d'entretenir ces ouvrages ou ces établissements publics dont une grande société retire d'immenses avantages, mais sont néanmoins de nature à ne pouvoir être entrepris ou entretenus par un ou plusieurs particuliers, attendu que, pour ceux-ci, le profit ne saurait jamais leur en rembourser la dépense (Richesse des nations, V1, A.Smith). [...]
[...] A partir de ce moment là les coûts variables moyens augmentent. (source Wikipédia) Les coûts totaux moyens représentent la division du coût global par le nombre d'unités produites. Le coût marginal quant à lui est le coût de la dernière unité produite. Le coût marginal permet de déterminer un optimum technique de production. Il permet aussi d'optimiser le potentiel de production de certains outils d'aide à la décision. La courbe représentative des coûts marginaux se compose de deux tendances ; l'une décroissante ( sous l'effet des rendements marginaux croissants) et l'autre croissante ( sous l'effet des rendements marginaux croissants). [...]
[...] Les enjeux d'une politique de prix adéquats sont colossaux, en effet un prix élevé procure des marges unitaires importantes mais risque de décourager la demande. La fixation d'un prix dépend de trois variables principales ; le coût, la demande et la concurrence. Le coût de production est un des éléments centraux de la fixation des prix par les entreprises . Il représente la somme dépensée par l'entreprise pour assurer la production d'un bien donné. Cette somme varie selon la période d'analyse retenue. [...]
[...] C'est une logique basée sur l'offre, grâce à la flexibilité des prix qui assure en permanence l'équilibre de l'offre et de la demande sur tous les marchés Les théories classiques et néo-classiques possèdent cependant des limites incontestables ; la main invisible de Smith qui conduit au meilleur état possible de l'économie par la recherche de l'intérêt individuel. A partir de ce constat l'intervention de l'Etat est néfaste et inefficace parce qu'elle perturbe les lois du marché et les calculs économiques des agents. Cette approche repose sur l'hypothèse de concurrence parfaite qui n'est jamais complètement atteinte. [...]
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